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Taxe sur les transactions financières : le moment de vérité pour Merkel et Sarkozy

rubon1.jpgÀ l'issue du sommet franco-allemand qui s'est tenu à Berlin hier soir, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont déclaré vouloir porter conjointement la demande d'une taxe sur les transactions financières (TTF) au G20 programmé la semaine prochaine à Toronto.

Il aura fallu l'avènement d'une crise financière d'une ampleur inégalée, suivie d'une crise européenne majeure pour contraindre les gouvernements des deux pays les plus influents de l'Union européenne à considérer l'adoption de cette proposition historique d'Attac ; depuis 12 ans en effet, Attac défend la création d'une telle taxe afin, à la fois, d'endiguer la spéculation financière et de générer des ressources nouvelles à même de financer les besoins écologiques et sociaux mondiaux.

Face à l'opposition affirmée de leurs homologues du G20 (Canada, Australie, États-Unis, entre autres), la probabilité d'aboutir à un accord sur cette proposition est cependant pour le moins minime, et les élans altermondialistes de nos deux chefs d'État ont d'ostensibles relents électoralistes. Las des nombreuses déclarations sans suites et des effets de manche médiatique, nous jugerons M. Sarkozy et Mme Merkel sur leurs actes et les enjoignons :

- à ne pas marchander leur renoncement à la TTF contre l'acceptation d'une taxe bancaire, qui rencontre plus de faveur auprès des chefs de gouvernement du G20, mais dont les fonctions de régulation de la finance sont nulles.

- à défendre un taux suffisamment élevé pour cette taxe, afin qu'elle ait un impact drastiquement dissuasif sur la spéculation financière.

- quelle que soit la décision du G20, à démontrer leur volonté en mettant en œuvre cette taxe au plan européen, et à défaut d'accord européen, dans la zone euro, dès leur retour de Toronto.

Attac France, le 15 juin 2010

Commentaires

  • Me voilà à Vienne

    c'est marrant ça en cinq minute j'y suis !


    Merkel et Sarkozy

    vous croyez encore à ces deux là

    eh beh !

    On aère un peu pour s’amuser Non ? Si !

    chanson !

    Elle était une fille
    De Saint Germain des prés
    Dans son chemin rencontre
    Un jeune marinier

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Dans son chemin rencontre
    Un jeune marinier
    Marinier qui navigue
    Apprends-moi à danser

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Marinier qui navigue
    Apprends-moi à danser
    Entrez dans ma nacelle
    Je vous l’apprendrai

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Entrez dans ma nacelle
    Je vous l’apprendrai
    Quand elle fut entrée
    Elle s’est mise à pleurer

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Quand elle fut entrée
    Elle s’est mise à pleurer
    Oh ! Qu’avez-vous la belle
    Qu’avez-vous à pleurer ?

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Oh ! Qu’avez-vous la belle
    Qu’avez-vous à pleurer ?
    C’est mon anneau dit-elle
    Dans la mer est tombé

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    C’est mon anneau dit-elle
    Dans la mer est tombé
    Que voulez vous la belle
    Que j’aille le chercher

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Que voulez vous la belle
    Que j’aille le chercher
    Cent écus de ma poche
    Et plus un doux baiser

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Cent écus de ma poche
    Et plus un doux baiser
    Le beau marin se déshabille
    Dans la mer a plongé.

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    Le beau marin se déshabille
    Dans la mer a plongé.
    La première fois qu’il plonge
    L’anneau il a touché.

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    La première fois qu’il plonge
    L’anneau il a touché.
    La seconde fois qu’il plonge
    L’anneau a résonné.

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    La seconde fois qu’il plonge
    L’anneau a résonné.
    La troisième fois qu’il plonge
    Mon marin s’est noyé

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.

    La troisième fois qu’il plonge
    Mon marin s’est noyé
    Pleurez, pleurez les filles
    Ce jeune marinier.

    Faut s’en aller, dondaine,
    Belle, oh faut s’en aller.
    Pleurez, pleurez les filles
    Ce jeune marinier.


    Bises à tous
    Un petit tour s’en est allée
    A demain !

    Si dieu le veut hein parce que.....je ne sais pas
    je peux passer sous un pot de fleur
    me faire écraser par une voiture ou ce que vous voulez
    mourir d'un arrêt cardiaque là sur le coup et vlan !
    voilà.........la paix intégrale !

    je plaisante

    Bonne soirée

    Marie-Lise Ehret

    http://psychanalysepoesiepeintureart.hautetfort.com/archive/2008/09/23/psychanalyse-marie-lise-ehret-poesie.html

Les commentaires sont fermés.