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Web - Page 7

  • Quand l’agriculture paysanne arrive au cœur des quartiers populaires

    basta.pngTrès intéressant l'article de Sophie Chapelle (18 janvier) sur le site de Bastamag.net : http://www.bastamag.net/article2054.html

    Terminés les paniers bios réservés aux « bobos ». Dans la ville ouvrière de Saint-Étienne, associations de quartier et paysans travaillent ensemble pour livrer des légumes de saison et des produits sains au plus près des quartiers, tout en créant des emplois. Rencontre avec les membres du projet « de la ferme au quartier », une plateforme d’approvisionnement alimentaire solidaire en circuit court, et une alternative au « low-cost » de la grande distribution.

  • Site à visiter : spirale actions d'Attac !

    Logo Attac.jpgUn bon résumé des actions multiples entreprises à travers le pays (et ailleurs)

    http://www.spirale.attac.org/actions/

  • Campagne semences : lancement de la 1ere cyberaction sur les semences de ferme

    Dans le cadre de la "Campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs par la libération des semences paysannes et fermières", dont Attac France est partenaire, une cyber @ction est proposée pour s'opposer à une proposition de loi visant à étendre les droits de propriété de l'industrie semencière au détriment des agriculteurs.

    Pour notre droit à la souveraineté alimentaire

    Non aux royalties sur les semences de ferme

    Cyber @ction signable en ligne sur 

  • « Debtocracy », le procès de la crise

    statue-debtocracy.jpgCe documentaire retrace l'histoire de la dette grecque et pointe les responsabilités de la classe politique. Un film militant qui provoque un large débat.

    Tout le monde sur le web parle de Debtocracy, un documentaire des journalistes Katerina Kitidi et Ari Hatzistefanou sur la crise grecque. Tourné avec leur argent personnel et les dons de quelques amis, il est diffusé gratuitement sur debtocracy.gr.

    En moins de dix jours, près de 600 000 visiteurs l’ont visionné. Chaque jour, partisans et adversaires du documentaire échangent leurs points de vue sur Facebook, Twitter ou sur les blogs.

    Ce documentaire est maintenant disponible en français (sous-titré) à l'adreese suivante : http://www.youtube.com/watch?v=3z8fsmFlOaE

    Les principaux acteurs de ce documentaire (environ 200 personnalités) signent une demande de création d’un comité d'audit international, qui aurait pour but de préciser les raisons de la création d’une dette souveraine et la condamnation de ses responsables. En l’espèce, la Grèce a le droit de refuser le remboursement de sa "dette injustifiée", c'est-à-dire de la dette constituée par des actes de corruption contre l’intérêt de la société.

    Debtocracy est une action politique. Elle présente un point de vue sur l'examen des évènements qui ont conduit la Grèce au bord du gouffre. Les opinions vont toutes dans le même sens, sans contrepoint. C’est le choix des auteurs, qui livrent leur manière de voir les choses dès les premières minutes: "En près de 40 ans, deux partis, trois familles politiques et quelques grands patrons ont conduit la Grèce à la faillite. Ils ont cessé de payer les citoyens pour sauver leurs créanciers."

    Les "complices" de la faillite n'ont pas droit à la parole

    Les auteurs du documentaire ne donnent pas la parole à ceux qu’ils considèrent comme les "complices" de cette faillite. Les Premiers ministres et ministres des Finances de ces dix dernières années en Grèce sont présentés comme les maillons d’une chaîne de complices qui ont poussé le pays dans le vide.

    Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, qui s’est présenté aux Grecs comme le médecin du pays, est comparé au dictateur Georges Papadopoulos, Premier ministre sous le régime des colonels, de 1967 à 1974. Le parallèle est établi avec une facilité remarquable dès le début du documentaire, mais le personnage concerné (DSK) n’a pas le droit à la parole.

    A la question "Pourquoi ne pas faire intervenir les personnes pointées du doigt ?", Kateina Kitidi, l’une des auteurs répond que "c’est une question qu’il faut poser à de nombreux médias qui, ces derniers temps, diffusent en permanence un seul point de vue sur la situation. Nous considérons que nous offrons une autre approche, qui manquait depuis longtemps."

    Le public, garant de l'indépendance du film

    Pour son collègue Aris Hatzistefanou, c’est l’indépendance du documentaire qui compte: "Nous n’avions pas le choix, précise t-il. Pour éviter les contraintes sur le contenu du film, qu'auraient exigé les sociétés de production, institutions ou partis auraient certainement exigé, on s’est adressé au public pour assurer les frais de production. Le documentaire appartient donc à nos 'coproducteurs' qui ont fait des dons sur internet, et c’est la raison pour laquelle il n’y a pas de problèmes de droits. Notre but est, de toutes façons, de le diffuser le plus largement possible", explique-t-il.

    Le documentaire se sert du problème de l’Equateur et de l’Argentine pour soutenir l’argument selon lequel le rapport d’un comité d'audit peut servir d'outil de négociation pour effacer une partie de la dette, du gel des salaires et des retraites.

    "Nous essayons de prendre les exemples de pays comme l’Argentine et l’Equateur, qui ont dit non au FMI et aux créanciers étrangers qui ont mis à genoux, même partiellement, les citoyens. Pour cela, nous avons parlé aux personnes qui ont mené un audit en Equateur et prouvé qu’une grande partie de la dette est illégale", reprend Katerina Kitidi. Debtocracyévite toutefois de souligner des différences majeures et évidentes entre l’Equateur et la Grèce. Entre autres, le fait que l’Equateur possède du pétrole.

  • Les économistes « atterrés » redoutent un « krach social et démocratique » de l'Europe

    Sur le site de Médiapart http://www.mediapart.fr/, ce débat initié par le site que l'on peut retrouver, par ailleurs sur DailyMotion :

    Plus la crise s'accélère, plus les hypothèses de leur manifeste, publié à l'automne 2010, se vérifient. Et, à force de dénoncer les méfaits de l'austérité, ou les errements de Bruxelles face à la crise, les économistes « atterrés » ont l'impression de radoter. « Nous sommes condamnés au radotage, car l'Histoire bafouille », ironise Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS, s'en prenant à la « remarquable persévérance dans l'erreur de ceux qui nous dirigent ».

    A l'invitation de Mediapart, six de ces économistes « atterrés » ont repris, jeudi 6 octobre à Paris, leur bâton de pèlerin. De l'agonie grecque à la chute de Dexia, ils ont décrit le nouveau virage de la crise, et tiré à boulets rouges sur l'Union européenne, qui n'y est pas pour rien dans les tourmentes en cours.

    Voici le lien vers la vidéo de la première partie du débat (1 h 25) :

    http://www.dailymotion.com/video/xll0e7_interventions-des-economistes-atterres_news?start=2#from=embediframe