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  • RAPPEL : Agenda d'Attac !

    Lundi 29 mars à 20 h 30 : réunion de lancement du futur "Festiv'Attac".

    Après le Festiv'Attac de 2005, un groupe de militants d'Attac Poitiers souhaite relancer l'idée d'une nouvelle édition : comment décliner les thèmes d'Attac sous une autre forme que les "traditionnelles" soirées-débats, tracts ou autre "4 pages" thématiques.

    Cinéma, théâtre, chanson, musique, vidéo, BD, affiches, à vos idées…

    Tout le monde est le bienvenu !  Venez avec vos idées, vos suggestions, ... Ça se passe dans les locaux de la FSU 86 (16 avenue du Parc d'Artillerie, tout au bout de la promenade des cours).

     

    Le groupe local de la Vienne des adhérents et amis aux associations « Terre & Humanisme » www.terre-humanisme.org et « Colibris le Mouvement... » www.colibris-lemouvement.org , vous annonce l'avant-première du film de Coline Serreau ; « Solutions locales pour un désordre global ».

    - Mercredi 31 mars : Avant-première de : « Solutions locales pour un désordre global » au TAP Cinéma « le Théâtre », place du Maréchal Leclerc (place de la mairie) à Poitiers. Entrée 5 €. De 19 h 30 à 20 h : présentation du film par la réalisatrice Coline Serreau. De 20 h à  22 h : projection. De 22 h à 23 h, pour ceux qui le souhaitent, débat avec des acteurs locaux qui témoigneront d'actions en Vienne mais aussi dans les pays du Sud.

    Cette avant-première est une suite logique à la conférence de Pierre Rabhi organisée avec l'ACEVE le 11 septembre 2009 aux Salons de Blossac de Poitiers. A noter dès maintenant  dans vos agendas, le prochain temps fort : l'Ecofesti'vals de Gartempe des 1 et 2 mai 2010 à Saint Pierre de Maillé dont le thème est « La Terre » enjeu(x)... enjeu, en jeu, en je... (voir programme sur www.taragaia.eu )

    Partenaires locaux pour cette avant-première : Abeille verte, ACEVE, ADEMA, ADAB Vilvert, AMAP du Haut-Poitou, Ampélidaé, ATTAC, CAMIdiag86, Confédération paysanne, Crédit Coopératif, Ecofesti'vals de Gartempe, Education World 86, E.I. Marc Tricot, ESCEM, Gérard Nallet, Greenpeace, Habitat Naturel, Humano Pole, Imagine un colibri, Is'eau énergie, Jardiniers en Herbe, La Distillerie, Le Pois Tout Vert BIOCOOP, Les Orangeries, Orcades, TAP-Cinéma, Taragaïa, Technique Solaire Smonig, (T2S) Vienne Agrobio...

    L'affiche en pièce jointe : Solutions locales pour un désordre global.jpg

  • L'euro dans les mains du FMI : une rupture historique

    rubon1.jpgL' accord entre les dirigeants de l'Eurogroupe annoncé hier, 25 mars 2010, pourrait marquer une rupture historique dans la construction européenne. Pour la première fois les dirigeants européens appellent au secours le Fonds Monétaire International pour aider un pays de la zone euro, la Grèce.

    L'accord est très imprécis sur les mécanismes de cette aide, et stipule qu'elle ne serait sollicitée « qu'en dernier ressort ». Mais il s'agit d'un abandon majeur de souveraineté des capitales européennes. Non contentes d'avoir renoncé à toute politique budgétaire européenne autonome ; non contentes d'avoir confié le pouvoir monétaire à une Banque centrale européenne indépendante de tout contrôle démocratique ; non contentes d'avoir dérégulé les marchés financiers et de laisser les fonds spéculatifs saigner à blanc les salariés, les PME, les services publics et maintenant les États eux-mêmes, les autorités de la zone euro décident aujourd'hui de partager la responsabilité de la monnaie européenne avec le Fonds Monétaire International. Ce dernier, largement contrôlé par les États-Unis, a toujours agi en fonction des intérêts de l'industrie financière internationale. C'est sans doute pour cela que les dirigeants européens, sur l'insistance d'Angela Merkel, ont accepté de lui confier les rênes. La BCE de M. Trichet n'aurait-elle pas donné assez de garanties de son orthodoxie financière ?


    En même temps que les dirigeants de l'Eurogroupe prenaient cette décision, on apprenait que l'enquête ouverte par les autorités de régulation financière européenne sur la spéculation contre l'euro n'a donné aucun résultat : les régulateurs n'ont pas pu identifier les fonds spéculatifs qui attaquent la Grèce, et ont transmis le dossier ... aux services secrets ! Déjà, le 16 mars dernier, les ministres des finances européens avaient renoncé à imposer aux fonds spéculatifs la simple obligation... de s'enregistrer. La démission du pouvoir politique devant les spéculateurs est véritablement indécente, au moment où se préparent partout, à commencer par la France, des plans de restrictions draconiennes dans les dépenses publiques et la protection sociale, pour satisfaire ces mêmes fonds spéculatifs qui ont provoqué la crise financière et l'aggravation des déficits publics ! 

    Il n'y a qu'une manière de stopper cette descente aux enfers de l'euro, de l'Europe et des peuples européens, que le sort de la Grèce préfigure : il faut taxer et réguler fortement les transactions financières, en commençant si nécessaire à l'échelle européenne. Il faut aussi que les États puissent emprunter à faible coût auprès de la BCE. Le FMI n'aura de légitimité à intervenir que le jour où, totalement réformé et démocratisé, il sera devenu une agence de l'ONU responsable de la stabilité financière et monétaire, ce bien public mondial.

    Attac France, Montreuil, le 26 mars 2010

  • Europe 2020 : pourquoi changer une stratégie qui perd?

    rubon1.jpgAlors que la contrainte financière et budgétaire pèse de plus en plus sur les peuples européens, en tout premier lieu en Grèce et au Portugal, le Conseil européen doit lancer les 25 et 26 mars la stratégie « Europe 2020 » proposée par la Commission européenne. Elle prolonge la stratégie de Lisbonne adoptée en 2000, qui affichait comme objectif de faire de l'Europe « l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d'ici à 2010 ».

    Dans le contexte de la crise financière et économique, la Commission est revenue à plus de modestie : il s'agit maintenant pour l'Europe de préserver ses positions dans le marché mondial, et non plus de viser le haut du podium. Il faut dire que le bilan de la stratégie de Lisbonne est catastrophique. D'inspiration résolument néolibérale, elle a contribué à plonger l'Europe dans la crise financière et économique. C'est ce modèle lui-même qui est responsable de la situation que nous connaissons aujourd'hui.

    La crise économique a renforcé les inégalités et aboutit à de graves conséquences sociales. Le réchauffement climatique se poursuit. Le système économique menace d'épuisement les ressources naturelles. Pourtant, le modèle de développement n'est pas mis en cause. Il est juste repeint aux couleurs d'une croissance « verte, intelligente et inclusive », défendue par des lobbies patronaux tels que l'European Round Table. Trois grands axes structurent « Europe 2020 » :
    - la « croissance intelligente », reposant sur une vaste réforme marchande des universités, une réforme de la gouvernance d'Internet et la création d'un « marché des services et biens en ligne ».
    - La « croissance verte », qui mise sur le développement du marché des biens et services « verts », et comprend la mise en place d'accords commerciaux bilatéraux de libre-échange et de propriété intellectuelle sur les technologies vertes avec les pays en développement.
    - La « croissance inclusive », qui reprend les termes de la politique sociale européenne : réforme des systèmes de protection sociale par la flexisécurité, l'allongement des années à travailler et la formation « tout au long de la vie ». Au-delà de ces changements, l'Union européenne se voit contrainte d'annuler ses discussions sur les objectifs en matière d'éducation, dans un contexte où des mouvements sociaux ont touché les universités en Allemagne et en Autriche, après la France, l'Italie, la Grèce l'année dernière.

    Des objectifs en trompe-l'œil
    Les objectifs associés sont dans la continuité de ceux fixés en 2000 pour 2010. Ils sont formulés sur un mode incantatoire, afin d'étalonner les « progrès » des pays membres (le « benchmarking »), et mettre à l'index les pays mauvais élèves.

    Comment la Commission prévoit-elle d'augmenter le taux d'emploi des 20 à 64 ans à 75 % (soit + 6 points), de réduire de 20 millions le nombre de pauvres (partant de 78 millions en 2009), de diminuer l'abandon scolaire de 15 % à 10 % et d'augmenter la part de la population ayant obtenu un diplôme universitaire à 40 % en 2020 (partant de 31% aujourd'hui) ?

    Comment espère-t-elle porter les dépenses de recherche et développement à 3% (contre moins de 2% aujourd'hui) ?

    Sont ajoutés les objectifs annoncés au sommet de Copenhague sur le climat : réduire les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 20 % par rapport aux niveaux de 1990 (ou de 30 % si les conditions sont « favorables »...) ; faire passer la part des sources d'énergie renouvelable à 20 % ; et accroître de 20 % l'efficacité énergétique. Des objectifs très en dessous du nécessaire, et qui sont surtout perçus comme des signaux de la compétitivité des technologies vertes européennes.

    « Business as usual »
    La crise économique et financière a porté les taux de chômage à des niveaux record, pendant que les profits financiers continuent à s'envoler, que les paradis fiscaux poursuivent leurs activités en toute tranquillité, et que la spéculation se déchaîne contre la Grèce et l'euro. De nombreux observateurs ont reconnu le rôle d'amortisseur de crise qu'a joué la protection sociale en Europe. Pourtant l'Union européenne s'apprête à reconduire intégralement son parti-pris néolibéral :
    - Miser tout sur la « compétitivité européenne » et les technologies vertes, censées apporter croissance et emploi, et continuer à privilégier les marchés et la finance au détriment des politiques sociales et d'une action publique forte dans le domaine écologique.
    - Poursuivre dans tous les pays la réforme des retraites, les réformes du marché du travail qui ont produit la catastrophe qu'on connaît en France avec la fusion ANPE-Assedic et l'arrêt de l'indemnisation de centaines de milliers de chômeuses et chômeurs. Au lieu de lutter contre le chômage, les licenciements et les fermetures d'entreprises, il s'agit de contraindre les travailleurs à accepter des bas salaires, des contrats précaires ou à temps partiel.
    - Aggraver les coupes claires dans les budgets publics de recherche et d'éducation, alors que le partenariat public-privé ne prend le relais que pour valoriser des projets rentables à court terme, et que la gestion entrepreneuriale des universités, productrices de « capital humain », contribue à faire de la connaissance une marchandise comme les autres.

    Aujourd'hui, le gouvernement grec, face aux spéculateurs, se voit sommé de mettre sa population au pain sec et à l'eau. Le scénario de sortie de crise proposé par la stratégie Europe 2020 passe nécessairement par la « rigueur budgétaire » : allongement des durées de cotisations pour la retraite, hausse de l'impôt indirect - mais pas sur les entreprises, ce qui risquerait de grever la « compétitivité européenne » chère à la Commission.

    Ceux qui dirigent l'Europe imposent de dix ans en dix ans les mêmes orientations, consolidées dans les traités. Ils font miroiter une croissance soutenue dopant l'emploi, mais plongent toujours plus profondément les travailleurs et les sociétés européennes dans le marché mondial, instable et inégalitaire. Loin d'eux l'idée de soumettre ces orientations aux peuples européens, dont la réponse ne ferait guère de doute.

    Attac France propose une autre stratégie
    Les objectifs : accès aux biens communs, accès aux droits fondamentaux pour tous ceux et celles qui vivent en Europe ; sauvegarde des équilibres écologiques en Europe et dans le monde.

    Les moyens : la lutte contre les inégalités, notamment par un droit au revenu pour tous et toutes et l'instauration d'un revenu maximum ; une politique fiscale européenne comprenant une taxation des transactions financières ; un budget européen fortement rehaussé ; la mise sous tutelle de la finance et la soumission de la Banque centrale européenne au pouvoir politique démocratique ; la renégociation des traités de libre-échange avec les pays du Sud, la reconnaissance de la souveraineté alimentaire et la mise en oeuvre de politiques de transition écologique et sociale (abandon progressive des énergies fossiles, relocalisation des économies, soutien aux agricultures durables...).

    L'Europe : un lieu de coordination de nos combats, de nos exigences et de nos revendications. C'est le sens que nous donnons à notre participation aux initiatives comme celle de Printemps 2010 qui se tient à Bruxelles en même temps que le sommet des 25 et 26 mars.

    Attac France, Montreuil, le 25 mars 2010
    http://www.france.attac.org/spip.php?article11012

  • Non, les Grecs ne sont pas paresseux

    Ainsi donc les Grecs seraient des paresseux dépensant plus qu'ils ne produisent. Et qui de surcroît élisent des gouvernements corrompus manipulant les comptes publics pour les conforter dans leur illusion. Et si votre voisin ou votre frère passe son temps à dépenser plus que ce qu'il gagne, est-ce lui rendre service que de lui prêter encore de l'argent ? N'est-il pas temps qu'il cesse de faire bombance et apprenne la dure loi du travail et du mérite ?

    Ce type de métaphore fondée sur la morale domestique et familiale (paresse contre travail, enfant prodigue contre bon père de famille) est évidemment un grand classique de la rhétorique réactionnaire. De tout temps les riches ont ainsi stigmatisé les pauvres. Rien de nouveau sous le soleil grec. Sauf que face à la complexité du capitalisme du XXIe siècle et de ses crises financières, ces métaphores moralisatrices semblent aujourd'hui se diffuser au-delà des cercles habituels. Quand on ne comprend plus rien au monde tel qu'il va, il est tentant d'en revenir à quelques principes simples. Face à la violence extrême des attaques dans les médias, le Premier ministre grec en est venu à déclarer lors de sa visite à Berlin : «Les Grecs n'ont pas plus la paresse dans leurs gènes que les Allemands n'ont le nazisme dans les leurs.» Ces propos, d'une dureté peu courante entre chefs de gouvernement d'une union politique, devraient convaincre ceux qui ne l'ont pas encore fait de s'intéresser à la crise grecque.

    Le problème de ces métaphores domestiques est qu'au niveau des pays, comme d'ailleurs au niveau des individus, le capitalisme n'est pas qu'une affaire de mérite - loin s'en faut. Pour deux raisons que l'on peut résumer simplement : l'arbitraire de l'héritage initial ; et l'arbitraire de certains prix, et notamment des rendements du capital.

    Arbitraire de l'héritage initial : la Grèce fait partie de ces pays qui ont toujours été possédés en partie par d'autres pays. Ce que le reste du monde possède en Grèce (entreprises, immobilier, actifs financiers) est depuis des décennies supérieur à ce que les Grecs possèdent dans le reste du monde. Conséquence : le revenu national dont les Grecs disposent pour consommer et épargner a toujours été inférieur à leur production intérieure (une fois déduits les intérêts et dividendes versés au reste du monde). Ce qui les rend assez peu susceptibles de consommer plus que ce qu'ils ne produisent.

    Dans le cas grec, l'écart entre production intérieure et revenu national était à la veille de la crise d'environ 5% (soit deux fois plus que l'ajustement budgétaire aujourd'hui demandé à la Grèce). Il peut dépasser 20% dans des pays ayant tout misé sur l'investissement étranger (comme l'Irlande), et plus encore dans certains pays du Sud. On objectera que ces flux d'intérêts et dividendes ne sont que la conséquence d'investissements passés, et qu'il est juste et bon que les débiteurs grecs et leurs enfants versent une partie de leur production à leurs créditeurs étrangers. Certes. De même qu'il est juste et bon que les enfants de locataires paient indéfiniment des loyers aux enfants de propriétaires.

    Le débat sur le mérite prend tout de même une autre tournure. Arbitraire des rendements du capital : la crise est avant tout la conséquence du fait que les contribuables grecs se sont subitement retrouvés à payer des taux d'intérêt de plus de 6% sur leur dette publique. La production intérieure de la Grèce est de l'ordre de 200 milliards d'euros. Les 10 plus grandes banques mondiales gèrent chacune des actifs supérieurs à 2 000 milliards d'euros. Une poignée d'opérateurs de marché peut décider en quelques secondes d'imposer un taux d'intérêt de 6% plutôt que de 3% sur un titre particulier - précipitant ainsi un pays dans la crise.

    Un tel système nous fait foncer droit dans le mur, et ce n'est pas le recours à la morale domestique qui va nous sauver. A terme, la solution passe par une forte reprise en main de la finance par la puissance publique. En Europe, il faut inventer le chemin menant au fédéralisme budgétaire. Qui ne passe pas par le FMI, mais bien plutôt par l'émission d'obligations européennes. Et, un jour ou l'autre, par une révolution des doctrines monétaires. Pour sauver les banques, les autorités monétaires leur ont prêté sans compter, à des taux de 0% ou 1%. Elles ont bien fait. Mais après cela, il n'est pas évident d'expliquer aux contribuables européens (grecs comme allemands) qu'ils doivent se serrer la ceinture durant des années pour repayer des intérêts élevés sur leur dette publique.

    Publié dans Libération du 25 mars 2010 par Thomas Piketty, directeur d'études à l'EHESS et professeur à l'Ecole d'économie de Paris.

     

  • Attac Infos 86 : Agenda Mars-Avril

    Dans votre agenda :

    Lundi 29 mars à 20 h 30 : réunion de lancement du futur "Festiv'Attac". Tout le monde est le bienvenu !  Venez avec vos idées, vos suggestions, ... Dans les locaux de la FSU 86 (16 avenue du Parc d'Artillerie, tout au bout de la promenade des cours).

    - Mardi 6 avril à 20 h 30 : réunion mensuelle d'Attac Poitiers. Maison du Peuple, salle Timbaud (rue St Paul)

    - Mercredi 21 avril de 17 h 45 à 20 h : salle Omnisports, près d'AUCHAN. Réunion mensuelle d'Attac Châtellerault.

     

    A noter aussi :

    - Du 25 au 27 mars : 5ème Festival "Raisons d'Agir" ("Surveiller, ficher et pénaliser"). Voir le programme complet :  http://maison-des-sciences.org/4668/festival-raisons-dagir-2010/

    - Jeudi 25 mars à 17 h : amphi Hardouin, faculté de droit, 43, place Charles de Gaulle : "Le droit international et la question palestinienne", conférence de Mireille Fanon - Mendes France. Dans le cadre de "la Journée de la Terre".

    - Mardi 30 mars : 2 films au TAP cinéma :

    -  à 18 h 00 : "La terre parle arabe" documentaire de Maryse Gargour suivi d'un débat avec la réalisatrice.

    - à 20 h 00 : "L'anniversaire de Leïla" fiction de Rachid Masharawi

    Entrée 3 € pour chaque film. Restauration légère possible sur place entre les 2 films.

    - Mercredi 31 mars : Avant-première de : « Solutions locales pour un désordre global » au TAP Cinéma « le Théâtre », place du Maréchal Leclerc (place de la mairie) à Poitiers. Entrée 5 €. De 19 h 30 à 20 h : présentation du film par  la réalisatrice Coline Serreau. De 20 h à  22 h : projection. De 22 h à 23 h, pour ceux qui le souhaitent, débat avec des acteurs locaux qui témoigneront d'actions en Vienne mais aussi dans les pays du Sud.

    - Jeudi 1er avril à 20 h 30 : L'arbre et l'eau (le rôle des boisements pour la protection des ressources en eau) avec Fabrice Moreau (hydrogéologue), Alain Persuy, chargé de mission au CRPF et Jean-Paul Perrigaud, chargé de mission Pays Mellois. Salle de cinéma de Lezay. Entrée libre.