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Pétition

  • Signez la pétition déposée par BNM79 auprès de l'Union Européenne

    Logo bassines.jpgAprès la manifestation de Saint Sauvant (vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=VSQNUZ5wnos), une nouvelle tâche nous attend. Nos amis de "Bassines Non Merci 79" ont déposé une plainte auprès de l'Union Européenne pour stopper le développement des bassines en général et en particulier en Poitou-Charentes.

    BNM 86 adhère à cette initiative et vous demande de signer cette pétition en copiant-collant ce lien, ci-dessous.

    Il faut bien entendu, ouvrir un compte.


    https://www.europarl.europa.eu/petitions/fr/petition/content/0095%252F2021/html/P%25C3%25A9tition-n%25C2%25BA%25C2%25A00095%252F2021%252C-pr%25C3%25A9sent%25C3%25A9e-par-Lucille%25C2%25A0Richard%252C-de-nationalit%25C3%25A9-fran%25C3%25A7aise%252C-accompagn%25C3%25A9e-de-45%25C2%25A0signatures%252C-au-nom-de-%25C2%25ABBassines-non-merci%25C2%25BB%252C-sur-des-r%25C3%25A9serves-suppl%25C3%25A9mentaires-pour-l%25E2%2580%2599irrigation-agricole-en-violation-de-la-directive-cadre-sur-l%25E2%2580%2599eau

  • [Pétition] Plus jamais ça, signons pour le jour d’après

    Après la tribune « Plus jamais ça » publiée il y a quelques jours, sa déclinaison locale (via une pétition) est indispensable. Donc allez sur le site ci-dessous et faites circuler l’info autour de vous !

    ATTENTION : beaucoup de passage depuis ce matin et ça bloque un peu (à 16 h = 15 000 personnes avaient signé)

    https://france.attac.org/se-mobiliser/que-faire-face-au-coronavirus/article/petition-plus-jamais-ca-signons-pour-le-jour-d-apres#form

     

    Plus jamais ça.jpg

  • Référendum contre le projet de privatisation d’ADP : mobilisation à Poitiers et dans la Vienne !

    Référendum contre le projet de privatisation d’ADP : on se mobilise à Poitiers et dans la Vienne !

    Attac.pngMessage du comité local d’Attac 86 adressé à un ensemble d’organisations de la Vienne :

    « Le Conseil Constitutionnel ayant validé en date du 9 mai, la possibilité d’organiser un Référendum d’Initiative Partagé sur la privatisation d’ »Aéroports de Paris », le plus dur reste à faire : collecter 4 717 396 signatures dans un délai de 9 mois. (http://www.assemblee-nationale.fr/15/propositions/pion1867.asp)

    Le comité local d’Attac 86 souhaite participer à cet effort collectif qui permettra, nous n’en doutons pas, de concrétiser cet objectif !
    C’est pourquoi nous proposons, au delà d’un accord qui semble partagé par de nombreux mouvements, qu’ils interviennent dans le champ associatif, politique ou syndical de mettre en commun nos forces respectives pour organiser cette mobilisation au plan local. Il nous reste à en déterminer les formes et à en construire la dynamique.
    D’après nos informations, une réunion nationale est d’ores et déjà prévue le 19 juin à Paris qui lancera une initiative nationale qui devrait trouver des relais partout où cela sera décidé.
    Nous vous proposons donc un premier échange qui pourrait se tenir le lundi 24 juin à 20 h. Il reste à trouver un lieu pouvant accueillir l’ensemble des forces qui voudront se joindre à cette initiative.
    Dans l’attente de votre retour, »

    Le comité local Attac 86 (poitiers@attac.org)

    Dans un premier temps, sont informés : 
    Alternatiba Poitiers, Confédération Paysanne 86, UD et UL CFDT, UD et UL CGT, FO 86, EELV 86, Ensemble 86, FSU 86, France Insoumise 86, GénérationS 86, IEPOP, NPA 86, PCF 86, PS 86, Solidaires 86,…

     
    La liste ne demande qu’à s’étoffer avec d’autres contacts locaux à prendre…
     
     
  • TAFTA, CETA : 12 organisations de la société civile demandent à François Hollande de mettre un terme,aux accords transatlantiques !

    cid:  part2.82C9E2F8.E3739E13@act-consultants.fr.pngAttac en lien avec 11 autres organisations de la société civile lance une pétition pour demander à François Hollande de mettre un terme aux accords transatlantiques CETA et TAFTA.

    Dans le contexte présent, il importe de participer massivement à cette pétition. Vous pouvez la signer à : https://france.attac.org/se-mobiliser/le-grand-marche-transatlantique/article/tafta-ceta-demandez-a-francois-hollande-de-mettre-un-terme-aux-accords

    Les négociations sur le projet d’accord de libre-échange avec les États-Unis (TAFTA) se poursuivent alors que les révélations récentes (« TTIP leaks ») ont confirmé leur logique de remises en cause des normes (alimentaires, sanitaires, environnementales et sociales) et du principe démocratique (à travers l’institution d’un tribunal arbitral et de la coopération réglementaire).
    Pendant ce temps, la Commission européenne fait le forcing pour faire ratifier l’accord avec le Canada, CETA, dont le texte publié porte les mêmes dérives, et pour contrer les réticences sur cette ratification qui se font sentir au sein de certains États-membres. Alors que les chefs d’États des 28 États-membres sont invités, lors du prochain sommet de l’Union européenne les 28 et 29 juin, à confirmer leur soutien au mandat de négociation TAFTA donné aux négociateurs de la Commission européenne, demandons à François Hollande que la France qui a exprimé des critiques sur TAFTA se retire des négociations et qu’elle refuse, en cohérence, d’adopter l’accord avec le Canada (CETA).

  • Sortir de l’état d’urgence

    En réaction à l’horreur des attentats, l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement, puis aggravé et prolongé pour une durée de trois mois. Nos organisations ont immédiatement exprimé leurs craintes vis-à-vis de ce régime d’exception ; ces craintes sont aujourd’hui confirmées par l’ampleur des atteintes aux libertés constatées depuis quelques semaines. Nous assistons à un véritable détournement de l’état d’urgence qui cible également des personnes sans aucun lien avec des risques d’attentat. Ces abus doivent cesser.

    *Après l’appel « Nous ne céderons pas ! », une centaine d’organisation lance un appel unitaire pour «Sortir de l’état d’urgence».

    En réaction à l’horreur des attentats, l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement, puis aggravé et prolongé pour une durée de trois mois. Nos organisations ont immédiatement exprimé leurs craintes vis-à-vis de ce régime d’exception ; ces craintes sont aujourd’hui confirmées par l’ampleur des atteintes aux libertés constatées depuis quelques semaines. Nous assistons à un véritable détournement de l’état d’urgence qui cible également des personnes sans aucun lien avec des risques d’attentat. Ces abus doivent cesser.

    La volonté de se rassembler et de manifester ensemble a prévalu après les attentats commis à Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de Vincennes, en janvier 2015. Elle prévaut encore. Or, depuis le 13 novembre 2015, les interdictions visant les mobilisations sur la voie publique se multiplient. Manifester n’est plus un droit, et les rares concessions accordées par les préfectures, qui attendent souvent le dernier moment pour informer de leurs intentions, entravent dans les faits son exercice.

    Le ministère de l’Intérieur justifie tout cela par son incapacité à sécuriser les parcours alors même qu’il autorise, dans le même temps, les rencontres sportives et des événements tels que les marchés de Noël, qui se tiennent sur la voie publique. L’interdiction des rassemblements et manifestations entraîne la multiplication des arrestations, des gardes à vue, des assignations à résidence, un fichage policier des militants, et, pour quelques-uns, des condamnations. Qui peut croire que cela soulage les autorités ? La censure, ici, s’avère doublement contreproductive…

    L’état d’urgence autorise par ailleurs des perquisitions sur ordre des préfectures, de jour comme de nuit, en dehors de tout cadre judiciaire, sur le fondement de fiches possiblement erronées, de dénonciations, d’informations et de soupçons sujets à caution. Plus de deux mille six cents intrusions discrétionnaires sont intervenues à domicile, dans des mosquées, des commerces, interventions souvent violentes, sans qu’aucune mise en examen pour terrorisme n’ait eu lieu. Rien n’indique qu’une telle frénésie va s’arrêter, chacun peut en être victime.

    Les assignations à résidence se multiplient sur la base de motifs aussi vagues que la présence sur le lieu d’une manifestation ou le fait de « connaître » tel ou tel individu. Ces graves restrictions sont appliquées, sans distinction, et de manière massive, d’autant que les juridictions administratives ont montré qu’elles s’en accommodent, quitte à ce que les libertés en souffrent. Elles reprennent à leur compte toutes les allégations du ministère de l’Intérieur et, comble de la démission, sont nombreuses à considérer qu’il n’y aurait pas d’urgence à statuer sur l’état d’urgence.

    L’état d’urgence et le climat de guerre intérieure alimenté par le gouvernement contribuent au renforcement des amalgames et aux pratiques discriminantes, notamment de la part des forces de police. Ce ne sont pas « les terroristes qui sont terrorisés », ce sont des jeunes et des populations victimes de l’arbitraire en raison de leur origine et/ou de leur religion qui voient leur situation encore davantage fragilisée.

    Reprenant à son compte les exigences de l’extrême droite, FN en tête, le gouvernement s’engage honteusement dans une modification de la Constitution visant à étendre la déchéance de la nationalité aux binationaux nés en France.

    Ces multiples atteintes portées au contrat démocratique sont une mauvaise réponse aux actes terroristes. Notre pays a été blessé, mais loin d’en apaiser les plaies, l’état d’urgence risque de les exacerber en appauvrissant notre démocratie, en délégitimant notre liberté.

    Dans ces circonstances, nous appelons les pouvoirs publics à :

    - jouer leur rôle de garants de la défense des droits et des libertés publiques ;

    - rétablir, sans délai, le droit plein et entier de manifester ;

    - cesser les perquisitions et les assignations à résidence arbitraires et à agir dans le cadre de procédures judiciaires ;

    - mettre en place des garanties effectives de contrôle ;

    - lever l’état d’urgence ;

    - renoncer à une réforme constitutionnelle préparée dans l’urgence et au contenu inacceptable.