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  • La macronie convertie à la justice fiscale, vraiment ?

    Attac.pngDepuis quelques jours, la majorité présidentielle semble s’être convertie à la justice fiscale. Ainsi, le guide adressé aux militants LREM pour défendre la politique du gouvernement au repas de Noël est catégorique : « Nous luttons pour plus de justice fiscale [1] ; et dans ses vœux du 31 décembre, Emmanuel Macron a déclaré vouloir « assurer la justice fiscale ». [2]

    Attac devrait se réjouir de cette belle victoire. Nous militons depuis des années pour la justice fiscale, c’est-à-dire pour que chacun paye des impôts à hauteur de ses moyens, ce qui suppose de mettre fin aux différents mécanismes qui permettent aux plus riches et aux plus grandes entreprises d’échapper à l’impôt. Depuis plusieurs semaines, le mouvement des « Gilets Jaunes » s’est emparé de cette thématique et l’a mise au cœur des débats. Les « Gilets Jaunes » ne réclament pas moins d’impôts (comme tente de le faire croire le gouvernement pour mieux justifier la baisse des dépenses publiques et donc le démantèlement des services publics), mais plus de justice fiscale : payer des impôts, oui, mais à condition que chacun paye sa juste part.

    Attac, le 4 janvier 2019

    La suite de l'article : https://france.attac.org/actus-et-medias/le-flux/article/la-macronie-convertie-a-la-justice-fiscale-vraiment

     

    Notes

  • La misère persiste en France

    Observatoire.pngDeux millions de personnes vivent avec moins de 700 euros par mois. Plus de 200 000 vivent dans des logements indignes ou à la rue. La France est l’un des pays les plus riches au monde, mais notre pays est loin d’avoir éradiqué la misère.

    En France, plusieurs centaines de milliers de personnes ne connaissent pas des difficultés de fin de mois, mais un manque d’argent permanent. Elles vivent avec 600 ou 700 euros par mois, parfois bien moins, et doivent se contenter du strict minimum. Quelle est au juste l’ampleur de la misère dans notre pays, l’un des plus riches au monde ? Pour tenter de mesurer le phénomène, nous avons opté pour quatre indicateurs différents : le nombre de personnes dont les revenus sont inférieurs au seuil de pauvreté à 40 % du niveau de vie médian, celui des allocataires de minima sociaux, des mal-logés et enfin, des bénéficiaires de l’aide alimentaire [1].

    [1Ces différentes mesures ne sont pas cumulables entre elles car elles se recoupent pour partie.

    La suite de l'article est à lire sur le site de l'Observatoire des inégalités :

    https://www.inegalites.fr/La-misere-persiste-en-France