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Attac Poitiers - ATTAC Vienne - Page 108

  • STOP TTIP et CETA - plus de 1 400 000 signatures pour l'ICE auto-organisée

    TTIP.pngLes 1 403 034 signatures sont dépassées en ligne. Nous dépasserons les 1 500 000 pour le 18 avril (journée mondiale StopTTIP/ TAFTA )

    L'objectif est de 2 000 000 signatures en lignes avant le 6 octobre 2015

    SIGNER et FAIRE SIGNER est toujours le mot d'ordre

    https://stop-ttip.org/fr/signer/

    La mobilisation contre les Traités Transatlantiques continue !

    *** Pour 11 pays le quorum est dépassé : - Allemagne, Grande Bretagne, Autriche, Finlande, France, Slovénie, Luxembourg, Pays-Bas, Espagne, l'Irlande et la Belgique

    Nous pouvons et nous devons faire beaucoup plus pour faire bouger la Commission européenne 


    Répartition par pays : 
    Allemagne (1190% - 857 379), Grande Bretagne (386% - 211 349), Autriche (399% - 53963), Finlande (300% - 29252), Slovénie (136% - 8182)France (136% - 75939 )Luxembourg (119% - 5370),  Espagne (111% - 45020),  Pays-Bas (110% - 21594), Irlande (107% - 8870 ), Belgique (107% - 16878 ) ont dépassés leur quorum
    - Suède (71% -  10785), Tchécoslovaquie (60% -  9551), Slovaquie (47% - 4659), Danemark (51% - 5014), 
    - Bulgarie (35% - 4511), Portugal (28% - 4535), Croatie (29% - 2459), Hongrie (33% - 5337),
    - Italie (19% - 10918), Roumanie (15% - 3823 ), Grèce (13% - 2166), Estonie (9% - 436), Pologne (9% - 3464 ), Lettonie (8% - 519), Lituanie (5% - 433), Chypre (3% - 166)

    http://stoptafta.wordpress.com/2015/01/06/nous-soutenons-lice-auto-organisee-contre-le-ttip-tafta-et-le-ceta-aecg/

  • Le coup de force inadmissible et irresponsable de la BCE contre la Grèce

    Logo Attac.jpgLa Banque centrale européenne (BCE) a annoncé mercredi 4 février qu’elle arrêtait les opérations normales de refinancement des banques grecques. Pour retirer des liquidités auprès de la BCE, les banques ne pourront plus donner comme garantie des obligations d’État grecs. Les banques grecques se voient retirer leur principale source de financement à la BCE.

    Attac condamne fermement cette décision de la BCE.

    Cette décision est inacceptable car la BCE a outrepassé son mandat. Celle-ci a suspendu le financement des banques grecques sur la simple « présomption » (selon son communiqué) qu’aucun accord ne pourrait être trouvé avec le nouveau gouvernement grec concernant la restructuration de la dette. Comment la BCE, institution qui n’a aucune légitimité démocratique, peut-elle prendre une décision aussi politique alors que les négociations ne font que commencer ?

    La décision de la BCE est irresponsable car elle pourrait engendrer une panique bancaire dont les conséquences pourraient être catastrophiques pour la Grèce et la zone euro dans son ensemble !Cette décision est illégitime, car la BCE s’oppose à l’application du programme politique qui résulte du choix des électeurs grecs. Une fois de plus, la BCE se fait le défenseur des créanciers de la Grèce pour imposer la poursuite d’un programme d’ajustement qui a ruiné le peuple grec et s’est traduit par une hausse de la dette grecque.

    Attac demande que la BCE suspende sa décision, et que les propositions du nouveau gouvernement grec soient entendues et appliquées. Seule est acceptable une restructuration rapide de la dette grecque, incluant une remise de dette. Le pouvoir exorbitant de la Troïka et des créanciers doit cesser !

  • « Coopération réglementaire » : Une dérégulation qui ne dit pas son nom

    Logo Attac.jpgSous ce doux nom de coopération se cache un vaste programme de détricotage des normes sociales, environnementales, alimentaires et sanitaires avec les lobbies des multinationales aux commandes. La Commission européenne a en effet repris quasiment mot pour mot les demandes de la chambre américaine de commerce et de Business Europe [1]. Étiquetage, autorisation de produits chimiques, règles prudentielles, sécurité automobile etc sont autant de domaines où les normes sont perçues comme des obstacles injustifiés au libre commerce. Et ce qui ne pourra pas être négocié dans le traité, encore trop sujet au regard public malgré l’opacité qui entoure les négociations, le sera par la suite : des groupes de travail sectoriels et un conseil de coopération réglementaire se chargeront de manière permanente d’analyser les législations actuelles et futures à l’aune de leur impact sur le commerce transatlantique, et ce avant même que les élu-es ne soient consultés (voir note CEO) et à l’abri de tout débat public.

    Le collectif national Stop TAFTA dénonce ce projet néfaste pour les consommateurs, les travailleurs et l’environnement. Loin d’être un volet technique, la coopération réglementaire est une pièce maîtresse du traité dont le projet est une dérégulation à grande échelle, en dehors de tout contrôle démocratique.

    D’après Michel Dubromel, administrateur de FNE (France Nature Environnement), « les documents fuités montrent que les négociateurs européens travaillent à modifier le processus réglementaire à la racine. Ils mettent en place des procédures complexes qui visent à promouvoir les seuls intérêts des milieux d’affaire et nuisent aux droits des populations et à l’environnement ».
    Laurent Pinatel de la Confédération Paysanne, membre du collectif, a déclaré « le conseil de coopération réglementaire deviendra un trou noir pour toute réglementation en place et à venir, destiné à contourner les élus et leur mandat démocratique. Le gouvernement français doit rejeter cette proposition avec force. »

    Le collectif continue à se mobiliser pour informer les citoyens des dangers de cet accord et pour mettre fin aux négociations telles qu’elle se déroulent.
    Plusieurs de ses membres seront présents à l’action organisée ce mercredi à 10 h 30 devant la Commission européenne pour dénoncer la capture du pouvoir par les multinationales et exiger la fin des négociations, à l’initiative de Global Justice Now et des Amis de la terre Europe.
    Notre campagne se poursuivra dans la rue le 18 avril avec une journée internationale d’action durant laquelle nous nous mobiliserons aux côtés de nos partenaires en Europe et en Amérique du Nord.

    158 organisations et réseaux de toute l’Europe publient ce mercredi une déclaration commune sur la coopération réglementaire dans TAFTA  : « TAFTA : La coopération réglementaire est l’outil ultime pour empêcher ou affaiblir les futures normes d’intérêt général en faveur des citoyens, des travailleurs, des consommateurs et de l’environnement ».

    [1] Comme en témoignent les fuites successives de documents : décembre 2013, décembre 2014, janvier 2015

    Informations complémentaires

  • Une résolution pour cette année 2015 : adhérer ou ré-adhérer à Attac !

     

    Logo Attac.jpgEn 2015, ensemble, refusons ce monde qui n’a plus à offrir que la peur, le fatalisme et la fuite en avant comme antidotes à son effondrement. Engageons-nous dans les résistances sociales et la création d’alternatives.

    L’année 2015 est riche en enjeux et opportunités pour nos combats : Conférence de l’ONU sur le changement climatique à Paris et la dynamique Alternatiba, TAFTA et les accords de libre échange, dette et austérité. Nous poursuivons notre harcèlement ludique à l’encontre des Requins, ces multinationales prédatrices. Des mobilisations altermondialistes sont au programme avec notamment le Forum social mondial à Tunis et le rassemblement « Blockupy » à Francfort, face au nouveau siège de la Banque centrale européenne.
    En Grèce, l’espoir s’est mis en marche : le réseau européen d’Attac fera tout pour qu’une autre Europe devienne possible.

     Que vous ayez ou non du temps à consacrer à Attac, sachez que l’adhésion est le premier acte militant : sans moyens, nous ne pouvons rien.

    Vous pouvez adhérer ou réadhérer en vous rendant sur notre site web (site sécurisé avec possibilité de régler par carte bancaire ou par chèque) ou en nous retournant lebulletin d’inscription par courrier (que vous pouvez télécharger en cliquant ici). 

    Alors, nous comptons sur vous !

    Geneviève Azam, Dominique Plihon, Thomas Coutrot, porte-parole d’Attac France.

    En savoir plus sur nos campagnes en cours

     

  • Le livre noir des banques

    livre_affiche_446.pngTravail commun entre l'association Attac et le site d'information "Basta !", ce livre vient de sortir.

    En 2008, la folie spéculative des banques a provoqué un quasi effondrement du système financier mondial et une crise qui ne cesse, depuis, de s’aggraver. Sept ans plus tard, où en est-on ? Les banques sont-elles redevenues utiles à l’économie et à la société ? C’est tout le contraire ! Elles paient toujours moins d’impôts et favorisent l’évasion fiscale. Elles continuent de spéculer sur les matières premières et financent des projets très polluants. Elles détournent l’épargne d’utilité sociale ainsi que les financements abondants et gratuits reçus de la Banque centrale européenne. 

    Ce livre est le résultat de plusieurs mois d’enquête. Chiffres et exemples à l’appui, il montre le coût des banques pour la société et retrace l’histoire de conflits d’intérêts et de collusions incroyables, d’une capture idéologique inouïe, de responsables politiques et administratifs sous influence.  La finance a bien un visage, celui d’une oligarchie bancaire plus que grassement rémunérée, coupable d’un véritable hold-up planétaire… 

    Le livre noir des banques, éd.Les Liens qui Libèrent, 372p., 21,50€