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AGENDA - Page 42

  • Mobilisation internationale du samedi 18 avril contre TAFTA and Co : ça se prépare !

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     Pour consulter les actions prévues ou en cours pour le samedi 18 avril --->

     https://stoptafta.wordpress.com/2015/03/15/journee-mondiale-daction-18-avril-2015-les-peuples-et-la-planete-avant-les-profits/

  • JOURNÉE MONDIALE le 18 avril 2015 * Stop TAFTA, CETA, TiSA* et tous les autres

    Cette journée aura lieu aussi à Poitiers ! Rendez-vous place du marché Notre-Dame, samedi matin à partir de 10 h 30, devant l'église Notre-Dame. Une initiative-surprise aura lieu, en cours d'organisation. Nous souhaitons être le plus nombreux possible, alors réservez votre matinée pour participer à cette mobilisation internationale.

    Venez nombreux !

     

  • Soutien au peuple grec à Poitiers jeudi 2 avril !

    Le meeting de soutien au peuple grec, soutenu par : Collectif dette (coorganisation), CADTM, ATTAC, EE-LV, Ensemble, FSU, PG, PCF, NPA,…

    "Solidarité avec le peuple grec contre l'Europe néolibérale" 

    Réunion-débat le jeudi 2 avril à 20 h 30 dans les locaux de la FOL, 17 rue de la Brouette du vinaigrier à Poitiers avec Alexis Cukier, philosophe, responsable du collectif unitaire « Avec les Grecs », sympathisant de Syriza.

     
    Texte d'appel 

    La victoire électorale de Syriza le 25 janvier 2015 constitue un événement politique majeur pour les peuples européens et les forces sociales et politiques de gauche : une première contre-attaque politique contre l’Europe de la finance, de l’austérité et du néolibéralisme.

    Le gouvernement grec défend un programme de combat contre la pauvreté, le chômage, la fraude fiscale, la corruption, le néolibéralisme, et pour la justice sociale, la défense de l’environnement, le droit des migrants, la démocratisation de la vie sociale, culturelle et politique. Cependant, il doit faire face à des pressions, chantages et diktats des institutions européennes, et notamment de la BCE et de l’Eurogroup. Elles visent à empêcher la mise en œuvre du programme progressiste de Syriza et à imposer la poursuite de la « cure d’austérité » en Grèce en dépit du choix démocratique du peuple grec.

     Les forces néolibérales européennes tentent d'organiser l’effrondrement rapide du soutien populaire au gouvernement grec; ils veulent faire la preuve par les faits qu’il n’y a pas d’alternative en Grèce et en Europe.  Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne a ainsi osé affirmer :« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».

    Cette situation politique pose de nouveaux problèmes, des défis inédits, pour le gouvernement grec mais aussi toutes les forces de la gauche en Europe.

     

    Où en sont les négociations et le bras de fer entre le gouvernement grec et les institutions européennes ?

    Comment comprendre les rapports de force dans l’UE, au sein de Syriza, dans la société grecque ? Quels sont les différents scénarios possibles ?

    Ici, en France : quel a été le rôle du gouvernement français, et que pouvons-nous en attendre ?

    Comment répondre à la propagande médiatique qui répète qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité, ni en Grèce ni ailleurs ?

    Enfin, comment  construire sur la durée un mouvement massif de soutien au peuple grec ?

  • Festival Raisons d’agir 2015 : « Jeunesses. No Future ? »

    POITIERS – DU 8 AU 10 AVRIL 2015

    Festival Raisons d’agir 2015 : « Jeunesses. No Future ? »


    10e édition du Festival Raisons d’agir - Du mercredi 8 au vendredi 10 avril 2015 

    à l’Espace Mendès-France, à l’UFR SHA, aux cinémas TAP-Castille et Le Dietrich, au Plan B, Poitiers 

    http://festivalraisonsagir.org/  

    Être jeune aujourd’hui… Quoi de commun entre l’apprenti, déjà au travail, et l’étudiant des grandes écoles, promis au meilleur avenir ? Quelles rencontres imaginer entre les « galériens » des « quartiers » qui résistent comme ils le peuvent à la relégation et celles et ceux qui inventent de nouvelles manières de vivre dans le bout de campagne où ils ont trouvé refuge ? Quelle unité possible entre les convertis aux nouveaux fantasmes de la radicalité religieuse et celles et ceux qui s’efforcent de gagner pas à pas leur propre émancipation, sociale, sexuelle ou politique ? 

    Il y a pourtant beaucoup à apprendre des façons dont chacun fait ou a fait sa jeunesse. On gagne à comparer les expériences, à transmettre ce qui peut l’être, à réinventer ce qui doit l’être. Sous réserve que chacun prenne la parole et fasse le récit de sa propre existence et de ce qui compte pour lui. À la condition, aussi, que l’on soit attentif à tout le nuancier des mondes d’avant et à ce qui se vit aujourd’hui, dans les nouvelles façons d’appréhender le travail, les études, la famille, le sens de la justice, l’espoir de la transformation sociale.

    Et puis, il y a le regard des presque déjà vieux, souvent condescendant ou un peu nostalgique, forcément nostalgique. De leur temps, on ne se complaisait pas « chez papa et maman » jusqu’à pas d’âge, on savait s’engager pour la vie ou on savait se révolter – selon, bien sûr, la lucarne d’où ils les observent. Conflit de génération ? Même pas. Mais distances, ruptures, malentendus.

    Il y a pourtant quelques questions qui se posent à tous ceux et toutes celles qui, comme on dit, entrent aujourd’hui dans la vie. Ce que leur promettent les générations en place, c’est toujours plus d’attente, toujours plus de menaces, toujours plus de risques. Ce que leur ont déjà offert les institutions qui ont accompagné leur enfance et leur adolescence, ce sont des diplômes au rendement incertain, un monde économique livré au consumérisme, une politique habitée par la désespérance.

    La 10e édition du festival Raisons d’agir mettra donc en discussion le rapport des jeunes d’hier et d’aujourd’hui à l’engagement. Plus encore qu’à l’occasion des précédentes éditions, il s’agira de croiser les expériences individuelles et collectives et les savoirs issus des sciences sociales, le regard des cinéastes, la sensibilité des artistes.

    Le festival Raisons d’agir 2015 est organisé par l’association Raisons d’agir Poitiers et l’Associo (Association des étudiants en sociologie de l’université de Poitiers), en partenariat avec l’Espace Mendès France, le cinéma TAP Castille, le cinéma Le Dietrich, l’UFR Sciences humaines et arts, l’Association culturelle de l’UFR Lettres et Langues, et les Amis du Monde Diplomatique, avec le soutien financier de l’université de Poitiers, l’UFR Sciences humaines et arts, la ville de Poitiers et la région Poitou-Charentes.

  • Meeting de soutien au peuple grec le Jeudi 2 avril à Poitiers

    Réunion-débat avec Alexis Cukier, philosophe, responsable du collectif unitaire « Avec les Grecs », sympathisant de Syriza :

    Jeudi 2 avril à 20 h 30 à la salle de la FOL, 17 rue de la Brouette du vinaigrier à Poitiers.

    La victoire électorale de Syriza le 25 janvier 2015 constitue un événement politique majeur pour les peuples européens et les forces sociales et politiques de gauche : une première contre-attaque politique contre l’Europe de la finance, de l’austérité et du néolibéralisme.

    Le gouvernement grec défend un programme de combat contre la pauvreté, le chômage, la fraude fiscale, la corruption, le néolibéralisme, et pour la justice sociale, la défense de l’environnement, le droit des migrants, la démocratisation de la vie sociale, culturelle et politique. Cependant, il doit faire face à des pressions, chantages et diktats des institutions européennes, et notamment de la BCE et de l’Eurogroup. Elles visent à empêcher la mise en œuvre du programme progressiste de Syriza et à imposer la poursuite de la « cure d’austérité » en Grèce en dépit du choix démocratique du peuple grec.

     Les forces néolibérales européennes tentent d'organiser l’effrondrement rapide du soutien populaire au gouvernement grec; ils veulent faire la preuve par les faits qu’il n’y a pas d’alternative en Grèce et en Europe.  Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne a ainsi osé affirmer :« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».

    Cette situation politique pose de nouveaux problèmes, des défis inédits, pour le gouvernement grec mais aussi toutes les forces de la gauche en Europe.

    Où en sont les négociations et le bras de fer entre le gouvernement grec et les institutions européennes ?

    Comment comprendre les rapports de force dans l’UE, au sein de Syriza, dans la société grecque ? Quels sont les différents scénarios possibles ?

    Ici, en France : quel a été le rôle du gouvernement français, et que pouvons-nous en attendre ?

    Comment répondre à la propagande médiatique qui répète qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité, ni en Grèce, ni ailleurs ?

    Enfin, comment  construire sur la durée un mouvement massif de soutien au peuple grec ?

    Soutenu par : Collectif dette (coorganisation), CADTM, ATTAC, FSU, EE-LVPG, Ensemble, PCF, NPA.