Collectif contre le projet de ferme-usine des 1 200 taurillons de Coussay les Bois
Message de la part des deux porte-parole du collectif, Dominique Brunet, et François Bigot :
« A l’attention des membres du collectif contre le projet de ferme-usine des 1 200 taurillons de Coussay les Bois.
Bonjour à vous, toutes et tous, qui nous soutenez, et avec qui nous partageons les mêmes valeurs et les mêmes convictions.
Vous n’êtes pas sans savoir que la décision de la Cour Administrative d’Appel de Bordeaux a, d’une façon tout à fait inexplicable, rendu un jugement qui ne nous est pas favorable.
Depuis, en Conseil d’Administration d’Aspect, nous avons pris la décision de nous pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat.
Mais ce recours n’est pas suspensif.
Nous devons prendre tous les moyens à notre disposition pour nous remobiliser. Dans un premier temps, dès la semaine prochaine, nous organiserons une réunion du Collectif des opposants à cette scandaleuse ferme-usine taille XXL, en visio, ce qui nous permettra d’être nombreux et non tributaire des horaires du couvre feu.
Nous prendrons le temps d’expliquer l’enchainement des derniers évènements et verrons ensemble les actions à entreprendre.
Merci de faire tourner cette information autour de vous, au plus grand nombre. En tout début de semaine prochaine, nous vous enverrons le lien pour accéder à la plate forme visio.
Notez qu’il était question de la ferme-usine jeudi 7 janvier, dans l’émission de la « Terre au Carré », de Mathieu Vidard, sur France Inter, entre 14 et 15 h.
Merci encore d’activer vos réseaux et à très bientôt. »
Des précisions sur le site d’Aspect : http://asso-aspect.over-blog.com/
et sur le site du collectif : www.collectifcoussay.fr
Ci-joint également, le lien pour écouter ou réécouter la chronique de Camille Crosnier « Camille passe au vert » dans l’émission « La terre au carré » du 7 janvier sur France Inter : https://www.franceinter.fr/emissions/camille-passe-au-vert/camille-passe-au-vert-07-janvier-2021
5 minutes pour se remettre le dossier en tête et se remobiliser pour enterrer définitivement cet élevage « hors-sol et hors du temps » comme le dénonce ASPECT et le collectif contre le projet.