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  • TAFTA, CETA : 12 organisations de la société civile demandent à François Hollande de mettre un terme,aux accords transatlantiques !

    cid:  part2.82C9E2F8.E3739E13@act-consultants.fr.pngAttac en lien avec 11 autres organisations de la société civile lance une pétition pour demander à François Hollande de mettre un terme aux accords transatlantiques CETA et TAFTA.

    Dans le contexte présent, il importe de participer massivement à cette pétition. Vous pouvez la signer à : https://france.attac.org/se-mobiliser/le-grand-marche-transatlantique/article/tafta-ceta-demandez-a-francois-hollande-de-mettre-un-terme-aux-accords

    Les négociations sur le projet d’accord de libre-échange avec les États-Unis (TAFTA) se poursuivent alors que les révélations récentes (« TTIP leaks ») ont confirmé leur logique de remises en cause des normes (alimentaires, sanitaires, environnementales et sociales) et du principe démocratique (à travers l’institution d’un tribunal arbitral et de la coopération réglementaire).
    Pendant ce temps, la Commission européenne fait le forcing pour faire ratifier l’accord avec le Canada, CETA, dont le texte publié porte les mêmes dérives, et pour contrer les réticences sur cette ratification qui se font sentir au sein de certains États-membres. Alors que les chefs d’États des 28 États-membres sont invités, lors du prochain sommet de l’Union européenne les 28 et 29 juin, à confirmer leur soutien au mandat de négociation TAFTA donné aux négociateurs de la Commission européenne, demandons à François Hollande que la France qui a exprimé des critiques sur TAFTA se retire des négociations et qu’elle refuse, en cohérence, d’adopter l’accord avec le Canada (CETA).

  • Manuel Valls et François Hollande : des propos inadmissibles sur le droit de manifester !

    Logo Attac.jpgLe Premier ministre, suivi du Premier secrétaire du Parti socialiste, puis du Président de la République, a tenu des propos inadmissibles au lendemain de la journée de mobilisation contre la loi travail du 14 juin. Manuel Valls accuse la CGT d’être responsable des violences intervenues en marge de la manifestation nationale qui s’est tenue à Paris et qui a rassemblé des centaines de milliers de personnes, n’en déplaise au Premier ministre. Le Président de la République se dit prêt à réfléchir à l’interdiction des prochaines manifestations. Attac exige que soit respectée la liberté de manifestation.
    Attac soutient sans réserve la mobilisation contre la loi Travail. Si il est adopté, ce projet de loi, indigne d’un gouvernement qui se prétend de « gauche », entraînera une régression sociale majeure . Malgré les manœuvres gouvernementales de divisions et de dénigrement et des violences policières entraînant des blessures de plus en plus graves, le mouvement social perdure depuis trois mois et ne faiblit pas.
    La manifestation à Paris ce 14 juin organisée à l’initiative de la CGT, FO, la FSU, Solidaires, l’UNEF, la FIDL et UNL était massive, dynamique et déterminée. Les violences qui ont eu lieu en marge de la manifestation, et notamment les dégradations contre l’hôpital Necker-Enfants malades, ne sont pas de la responsabilité des organisateurs qui ont très justement rappelé que c’est aux pouvoirs publics d’assurer l’ordre public.
    Le droit de manifester est constitutionnel. Toute tentative de criminaliser davantage le mouvement syndical et le mouvement social en interdisant l’expression de ceux et celles qui refusent une loi de régression sociale serait extrêmement grave et mettrait en péril les principes de base de notre démocratie.
    Attac réaffirme son soutien aux mobilisations contre la loi Travail et aux organisations syndicales engagées dans ce combat et appelle à participer aux journées de mobilisation nationales : le 23 juin, pendant l’examen du projet de loi au Sénat, et le 28 juin, pour la remise de la votation citoyenne.

    Communiqué d'Attac du 16 juin

  • Université d’été d’Attac : du 6 au 9 juillet à Besançon

    Univ Attac 2016.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’Université d’été d’Attac aura lieu cette année du 6 au 9 juillet à Besançon.
    Pour la première fois cette Université d’été sera conjointe avec celle du CRID, membre fondateur d’Attac. Inscrivez-vous vite pour participer à quatre jours de débats et d’échanges autour du thème « Des utopies aux alternatives, agissons ensemble ! ». Dans un contexte de crise multidimensionnelle qui affecte nos sociétés et la planète, faisons en sorte, ensemble, que nos utopies deviennent réalité !
    Attention : pour bénéficier d’un hébergement sur le campus, il faut obligatoirement remplir avant le 18 juin le formulaire d’inscription disponible sur le site de l’Université d’été.
    Ouverte à toutes et à tous, cette Université d’été sera un temps fort pour Attac et pour ses partenaires, mouvements sociaux et acteurs de la solidarité internationale. Lors des séances d’ouverture et de clôture, des représentant·e·s des mouvements de France, du Brésil, du Canada, du Maroc, du Burkina Faso… partageront leurs expériences de luttes.
    > Découvrez le programme des activités : http://www.universite-si.org/des-utopies-aux-alternatives-agissons-ensemble/programme/
    > Inscrivez-vous en ligne (possibilité de payer par carte bancaire ou par chèque).
    Attention : pour bénéficier d’un hébergement sur le campus, il faut obligatoirement remplir avant le 18 juin le formulaire d’inscription disponible sur le site de l’Université d’été.
    Trois tarifs sont proposés pour les 4 jours (tarif réduit à 20 € / tarif normal à 50 € / tarif solidaire à partir de 75 €).
    Il est de plus en plus difficile d’organiser un événement de cette ampleur car les coûts augmentent et les appuis financiers diminuent... n’hésitez pas à nous soutenir en choisissant le tarif solidaire et en diffusant l’information en masse dans vos réseaux pour que nous soyons nombreuses et nombreux !
    Vous êtes élu·e ou agent d’une collectivité, l’Université d’été peut être considérée comme un temps de formation et vos frais d’inscription vous être financés. Pour cela, contactez . l’association Formation et citoyenneté ici.

    Soyons nombreuses et nombreux à Besançon du 6 au 9 juillet !

  • Votation citoyenne loi travail

    Logo Attac.jpgEn réponse au déni de démocratie du gouvernement, l’intersyndicale CGT, FSU, FO, SOLIDAIRES, UNEF, UNL, FIDL a decidé de lancer une votation citoyenne dans les entreprises, les administrations, les lieux d’étude. Cette initiative s’inscrit en complément des autres formes de mobilisations qu’il faut poursuivre et amplifier pour gagner : grèves, manifestations, blocages, Nuits debout...

    Cette votation est un point d’appui pour élargir encore la mobilisation et permettre aux salarié-es et aux citoyen-nes de s’exprimer et de s’engager dans la mobilisation sous toutes ses formes. Il est également possible et nécessaire d’ouvrir cette votation au-delà des lieux de travail et permettre la participation la plus large possible des citoyen-nes.
    L’assemblée générale d’Attac qui s’est tenue samedi 28 juin, a considéré qu’Attac a un rôle à jouer pour participer au succès de cette votation. Aussi, les Comités locaux sont invités à prendre l’initiative pour organiser des votations dans les lieux publics en prenant contact avec les partenaires locaux (associations, syndicats, Nuit débout, partis politiques) susceptibles de s’inscrire dans cette démarche.
    Les délais sont très courts (d’ici à la fin du débat parlementaire), néanmoins la réussite de ces initiatives dépend de l’implication la plus large possible pour l’organisation d’un maximum de points de vote.
    Matériel : Le site http://votationtravail.fr est à disposition de toutes et tous pour faciliter l’organisation des votations sur le terrain, et rendre visibles et lisibles les résultats.
    Vous y trouverez le matériel (rubrique matériel) de vote avec deux possibilités, soit le bulletin de vote siglé des organisations syndicales de l’intersyndicale soit un bulletin de vote sans les sigles avec une feuille d’émargement.
    Il est important d’informer via le site du lieu et des modalités d’organisation de la votation locale pour le rendre visible