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Activités Attac - Page 34

  • Pour une autre politique agricole commune (PAC) le 20 mai à Poitiers

    LogoPAC.pngDimanche 26 mai prochain se tiennent les élections pour choisir les futurs député.e.s européen.ne.s.  La PAC (Politique Agricole Commune) est le premier budget européen et le parlement européen a son mot à dire dans les négociations européennes sur la PAC. Il est donc important d'interpeller les candidat.e.s sur cette question.

    La plateforme "Pour une autre PAC" qui rassemble 35 organisations françaises, propose de nous accompagner à l'organisation de tables de débats citoyens. Ces évènements, organisés en soirée ou le week-end, auront pour but de rassembler candidat.e.s, paysan.nes et autres citoyen.nes pour discuter de l'enjeu agricole et alimentaire, informer les citoyen.nes sur la PAC et interpeller les candidat.e.s sur leurs engagements. L'ambition est, partout en France, durant le mois de mai, de créer des espaces de dialogues conviviaux pour discuter tou·tes ensemble du modèle d’agriculture et d’alimentation que nous voulons.

    Dans la Vienne, la Confédération paysanne et Attac ont pris l’initiative de lancer l’’organisation d'un évènement qui se tiendra lundi 20 mai 2019 de 19 h à 22 h 30. Nous proposons à toute organisation de la Vienne de participer à la mise en place et au déroulement de cet évènement, qu’elle soit membre de l’une des organisations nationales partie prenante de la plateforme, ou non., pour peu qu’elle en partage les objectifs. La plateforme "Pour une autre PAC" mettra à disposition tous les outils nécessaires pour une organisation fluide et rapide de ces "Tables de débat citoyen" Le tout est résumé sur le flyer de présentation de cette action : https://drive.google.com/file/d/1GMCJ5odfx5KMlYDDr2madEpUomeUjlqV/view

    Pour en savoir plus sur Pour une autre PAC : 
    https://pouruneautrepac.eu/ Découvrez les portraits de paysan.nes qui mettent en œuvre au quotidien l'agriculture que l'on souhaite sur la chaine youtube de la plateforme et sa chaine facebook.
     
    CI-joint le tract de présentation de l'initiative local du 20 mai :
     
     

  • Prochain rendez-vous du comité local Attac Poitiers/agglo : vendredi 3 mai de 20 h à 22 h

    Prochain rendez-vous du comité local Attac Poitiers/agglo : vendredi 3 mai de 20 h à 22 h à la Maison de la Gibauderie.



    A l'ordre du jour :

    - Soirée Fiscalité/Impôts en juin
    - Action LDDS ("Livret Développement Durable et Solidaire) : comment l’organiser ? Dans quel cadre ? (inter-associatif ?)

    - Initiative inter-associatives « Pour une autre PAC » du lundi 20 mai (avec apéro et repas partagé !) Des nouvelles dans les prochains jours.

    Si vous êtes intéressé.e.s pour donner un coup de main, participer à la construction de l’évènement, une réunion de préparation a lieu lundi 13 mai de 20 h 30 à 22 h à la maison de la Gibauderie.

  • Livre du mois : Cette Europe malade du néolibéralisme - L’urgence de désobéir

    Chaque mois, découvrez un livre d’Attac !

    Aujourd’hui : Cette Europe malade du néolibéralisme - L’urgence de désobéir, coordonné par Dominique Plihon, Pierre Khalfa, Aurélie Trouvé et Jacques Rigaudiat

    Et si la seule manière de sauver l’Europe était de désobéir ?
    Voilà le parti pris de cet ouvrage incisif, manuel de résistance pour toutes celles et ceux qui ne se résignent pas au délitement du projet européen. Il y a aujourd’hui urgence : la désobéissance ou l’éclatement, telle est désormais l’alternative.



    Vidéo en ligne : https://vimeo.com/325433555?pk_campaign=Infolettre-1902&pk_kwd=vimeo-com-325433555

  • Négociations commerciales UE-Etats-Unis : Emmanuel Macron prend une décision opportuniste en période électorale

    Emmanuel Macron a annoncé ce jeudi 11 avril vouloir voter contre l’ouverture de négociations commerciales entre les États-Unis et l’Union européenne, sans s’être donné les moyens de réellement empêcher qu’elles aient lieu. Opportuniste, cette décision cache mal l’inconstance de Paris en la matière : Donald Trump sert à nouveau d’alibi à Emmanuel Macron pour verdir son image à la veille des élections européennes. Affirmant défendre « une Europe exemplaire pour le climat », Emmanuel Macron a fait comprendre que la France voterait contre les deux mandats de négociation soumis à l’approbation du Conseil de l’UE « Agriculture et pêche » ce lundi 15 avril, refusant de négocier « avec les États-Unis qui se placent en dehors de l’Accord de Paris ». Isolée, la France n’a visiblement pas cherché à réunir un bloc de pays suffisants pour obtenir une minorité de blocage et empêcher l’ouverture de ces négociations qui engageront la France tout du long. Pour Maxime Combes, porte-parole d’Attac France sur les questions climatiques, « voilà une décision électoraliste qui ne saurait masquer le fait qu’Emmanuel Macron a récemment validé de nombreux accords (CETA, Japon, Singapour, etc) jugés non climato-compatibles ; faire de l’adhésion à l’Accord de Paris le seul critère d’appréciation pour engager des négociations commerciales transcrit une mauvaise compréhension de l’urgence climatique et de l’impact des politiques de libéralisation du commerce sur le climat ; l’isolement français révèle l’absence de vision stratégique pour transformer les politiques commerciales européennes ». Pour Aurélie Trouvé, porte-parole d’Attac France, « nul ne devrait se réjouir d’une situation où Emmanuel Macron n’est pas en mesure de bloquer l’ouverture des négociations avec les États-Unis et de protéger nos concitoyens de leurs conséquences sur l’emploi, le climat et, potentiellement l’agriculture ; il faut en effet rappeler que les États-Unis n’ont cessé d’affirmer qu’il ne pourrait y avoir un accord commercial avec l’UE qui ne traite pas de l’agriculture ; sans minorité de blocage, le contenu et le résultat de ces négociations s’imposeront à nous ; ce n’est pas acceptable ». Communiqué de presse de l'Aitec et d'Attac France - 12 avril 2019

  • Des abeilles attaquent le siège de Bayer - Monsanto

    Attac.pngCe jeudi 14 mars, des dizaines de militant·e·s d’Attac déguisé·e·s en abeilles se sont rassemblé·e·s devant le siège de Bayer-Monsanto et y ont installé une scène de « crime écologique ». Cette action intervient à la veille des mobilisations pour la justice climatique (« grève mondiale des jeunes pour le climat » vendredi 15 mars et « marches pour la justice sociale et climatique » le 16 mars). Son objectif : dénoncer les impacts désastreux et irréversibles de Bayer-Monsanto sur l’environnement, la nature, le vivant et appeler à une mobilisation massive les 15 et 16 mars.

    Les militant·e·s ont recouvert d’une peinture non-toxique aux couleurs évoquant du miel les vitrines du bâtiment à l’aide d’extincteurs, et déversé des conteneurs de mélasse sur le trottoir. Devant cette scène, des grandes silhouettes cartonnées, symbolisaient les victimes quotidiennes de Bayer-Monsanto : abeilles, papillons, arbres, êtres humains, lombrics, ...

    Malgré l’état d’urgence écologique et climatique actuel, Bayer-Monsanto continue de détruire la biodiversité en bénéficiant d’une large impunité obtenue grâce à la complicité des États et son lobbying féroce. Le dernier rapport du GIEC publié à l’automne 2018 pointait l’impact du changement climatique sur la biodiversité : deux fois plus d’espèces seront mises en danger au cas où le réchauffement climatique dépasse les 2°C par rapport à une situation où il est contenu en-deçà de 1,5°C. Bayer-Monsanto ne fait qu’accentuer cette destruction par la production massive de produits dangereux pour la vie et la biodiversité.

    Action Bayer.jpg

     

    Les actes criminels des entreprises et la complicité ou l’inaction des États ne peuvent rester impunis.
    L’action des militant·e·s d’Attac visait à dénoncer un système économique et agroalimentaire soutenu par Bayer-Monsanto et les gouvernements, qui empoisonne nos assiettes, notre air, nos sols et notre planète au profit de puissants industriels et au détriment des paysans et de la majorité de la population.

    Pour Annick Coupé, secrétaire générale d’Attac : « l’impunité dont bénéficie Bayer-Monsanto illustre le double discours du gouvernement. D’une part il n’a cessé de reculer sur l’interdiction du glyphosate : la promesse de son interdiction demeure non inscrite dans la loi et témoigne du poids considérable des lobbys pour bloquer toute réglementation ambitieuse. D’autre part cette entreprise participe directement au financement de la campagne de l’ALDE (le groupe auquel sont rattachés les députés LREM au Parlement européen), ce qui laisse entrevoir de sérieux doutes quant à la réelle volonté du gouvernement de vouloir interdire le glyphosate. »

    Notre action vise à cibler les vrais responsables des dérèglements climatiques. « Fin du monde, fin du mois. Mêmes coupables, même combat ! »

    Communiqué du 14 mars 2019