A propos de la "dette" de la Grèce
http://cadtm.org/Grece-dette-democratie
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A lire sur le sujet du traitement médiatique de la victoire de Siriza en Grèce, ce petit fascicule :
Le meeting de soutien au peuple grec, soutenu par : Collectif dette (coorganisation), CADTM, ATTAC, EE-LV, Ensemble, FSU, PG, PCF, NPA,…
"Solidarité avec le peuple grec contre l'Europe néolibérale"
Réunion-débat le jeudi 2 avril à 20 h 30 dans les locaux de la FOL, 17 rue de la Brouette du vinaigrier à Poitiers avec Alexis Cukier, philosophe, responsable du collectif unitaire « Avec les Grecs », sympathisant de Syriza.
La victoire électorale de Syriza le 25 janvier 2015 constitue un événement politique majeur pour les peuples européens et les forces sociales et politiques de gauche : une première contre-attaque politique contre l’Europe de la finance, de l’austérité et du néolibéralisme.
Le gouvernement grec défend un programme de combat contre la pauvreté, le chômage, la fraude fiscale, la corruption, le néolibéralisme, et pour la justice sociale, la défense de l’environnement, le droit des migrants, la démocratisation de la vie sociale, culturelle et politique. Cependant, il doit faire face à des pressions, chantages et diktats des institutions européennes, et notamment de la BCE et de l’Eurogroup. Elles visent à empêcher la mise en œuvre du programme progressiste de Syriza et à imposer la poursuite de la « cure d’austérité » en Grèce en dépit du choix démocratique du peuple grec.
Les forces néolibérales européennes tentent d'organiser l’effrondrement rapide du soutien populaire au gouvernement grec; ils veulent faire la preuve par les faits qu’il n’y a pas d’alternative en Grèce et en Europe. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne a ainsi osé affirmer :« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».
Cette situation politique pose de nouveaux problèmes, des défis inédits, pour le gouvernement grec mais aussi toutes les forces de la gauche en Europe.
Où en sont les négociations et le bras de fer entre le gouvernement grec et les institutions européennes ?
Comment comprendre les rapports de force dans l’UE, au sein de Syriza, dans la société grecque ? Quels sont les différents scénarios possibles ?
Ici, en France : quel a été le rôle du gouvernement français, et que pouvons-nous en attendre ?
Comment répondre à la propagande médiatique qui répète qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité, ni en Grèce ni ailleurs ?
Enfin, comment construire sur la durée un mouvement massif de soutien au peuple grec ?
Réunion-débat avec Alexis Cukier, philosophe, responsable du collectif unitaire « Avec les Grecs », sympathisant de Syriza :
Jeudi 2 avril à 20 h 30 à la salle de la FOL, 17 rue de la Brouette du vinaigrier à Poitiers.
La victoire électorale de Syriza le 25 janvier 2015 constitue un événement politique majeur pour les peuples européens et les forces sociales et politiques de gauche : une première contre-attaque politique contre l’Europe de la finance, de l’austérité et du néolibéralisme.
Le gouvernement grec défend un programme de combat contre la pauvreté, le chômage, la fraude fiscale, la corruption, le néolibéralisme, et pour la justice sociale, la défense de l’environnement, le droit des migrants, la démocratisation de la vie sociale, culturelle et politique. Cependant, il doit faire face à des pressions, chantages et diktats des institutions européennes, et notamment de la BCE et de l’Eurogroup. Elles visent à empêcher la mise en œuvre du programme progressiste de Syriza et à imposer la poursuite de la « cure d’austérité » en Grèce en dépit du choix démocratique du peuple grec.
Les forces néolibérales européennes tentent d'organiser l’effrondrement rapide du soutien populaire au gouvernement grec; ils veulent faire la preuve par les faits qu’il n’y a pas d’alternative en Grèce et en Europe. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne a ainsi osé affirmer :« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».
Cette situation politique pose de nouveaux problèmes, des défis inédits, pour le gouvernement grec mais aussi toutes les forces de la gauche en Europe.
Où en sont les négociations et le bras de fer entre le gouvernement grec et les institutions européennes ?
Comment comprendre les rapports de force dans l’UE, au sein de Syriza, dans la société grecque ? Quels sont les différents scénarios possibles ?
Ici, en France : quel a été le rôle du gouvernement français, et que pouvons-nous en attendre ?
Comment répondre à la propagande médiatique qui répète qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité, ni en Grèce, ni ailleurs ?
Enfin, comment construire sur la durée un mouvement massif de soutien au peuple grec ?
Soutenu par : Collectif dette (coorganisation), CADTM, ATTAC, FSU, EE-LVPG, Ensemble, PCF, NPA.
De nombreux militants et citoyens sont indignés par le chantage et l’intimidation exercées par les institutions européennes et les gouvernements contre le choix exprimé par le peuple grec de mettre fin à l’austérité. Ils posent la question de ce qu’ils peuvent faire.
Attac les invite à participer aux initiatives Blockupy Francfort, le 18 mars, à assiéger la Banque de France le 14 mars ou encore à participer aux Collectifs pour un audit citoyen de la dette (CAC). Il y a également une aspiration à développer des formes de solidarité politique concrète avec le peuple grec.
Cette recherche de l’engagement dans des actions concrètes de solidarité traduit la volonté politique de dire que le combat des Grecs est aussi le nôtre et de voir se développer des alternatives sociales.
Parmi les initiatives existantes, Attac en soutient deux : le projet « De peuple à peuple », ainsi que le réseau Solidarité franco-grecque.
Le projet « De peuple à peuple », à l’initiative du réseau Interdemos, organise une collecte de fonds participative (« crowdfunding ») pour les initiatives sociales locales grecques autogérées fédérées par « Solidarité pour tous » (« Solidarity4all »), une plateforme en lien avec Syriza.
« De peuple à peuple » vise à collecter des fonds manifestant de façon spectaculaire la solidarité des peuples français et européens avec la Grèce dans un moment critique. Deux objectifs sont visés : financer les actions de solidarité sociale de terrain en Grèce qui sont fédérées par la plateforme « Solidarity4all » et garantir que leur mise en œuvre ne sera pas compromise par un étranglement financier de la Grèce ; créer un effet politique important en démontrant que les peuples sont plus généreux et plus inventifs que les gouvernements qui agissent pour le bénéfice des seuls rentiers. L’objectif est de réunir au moins 300 000 euros pour financer sur deux ans des projets concrets
Pour en savoir plus sur l’initiative et contribuer financièrement, rendez-vous à cette adresse : http://www.kisskissbankbank.com/de-....
Le réseau Solidarité franco-grecque, dont Attac a participé au lancement, s’est spécialisé sur les questions de santé. Ce collectif réunit des militants grecs et français.
Il est en lien direct avec les structures autogérées grecques (dispensaires et pharmacies). Animé par un collectif de personnes de tous horizons (associatifs, professionnels, politiques, syndicaux), il se réunit régulièrement à Paris et s’est donné comme but :
Le Collectif France Grèce pour la Santé, grâce au partenariat qu’il a pu construire à travers deux années d’actions, propose l’envoi d’une délégation en Grèce au mois de mai. Cette délégation française, large et unitaire,composée d’acteurs syndicaux, associatifs, politiques du secteur santé, irait visiter des hôpitaux, des dispensaires, des équipes syndicales et des responsables institutionnels grecs
Pour en savoir plus sur ce collectif, rendez-vous sur ce blog https://solidaritefrancogrecque.wor....