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Mondialisation - Page 16

  • En notre nom, ne le ratifiez pas ! NON à l'Accord de libre-échange entre l'UE, la Colombie et le Pérou

    Les accords, prêts pour leur ratification par le Parlement européen, encouragent des échanges commerciaux entre l΄Union européenne, la Colombie, le Pérou et l’Amérique centrale qui aggraveront la situation économique des paysans, bénéficieront des conditions de travail sans garanties, renforceront la situation déjà critique des droits humains dans ces régions, et provoqueront des effets dévastateurs sur les peuples autochtones, les paysans, les populations afrocolombiennes et sur l΄environnement.
    Nous pouvons encore arrêter ces accords pour que la société de Colombie, du Pérou et d’Amérique centrale soient les décideurs de leur avenir et de leur développement économique, et qu’ils ne soient pas sacrifiés à des intérêts commerciaux. Signe maintenant!
     
    Pour plus d΄informations, visitez le site internet sur les Accords Commerciaux: http://www.fta-eu-latinamerica.org
     
    Pour plus d'informations, voir :
    − La lettre d'interpellation des organisations et mouvements latino-américains et européens appelant les euro-députés à voter NON à cet accord, disponible ici : www.s2bnetwork.org/fileadmin/dateien/downloads/FR-Carta_colectiva_NO-TLC_FR.pdf
    − La déclaration des syndicats européens, réunis à Bruxelles le 9 octobre dernier, appelant à s'opposer à l'adoption de cet accord, ici : http://www.etuc.org/IMG/pdf/ETUC-TUCA_Colombia-Peru-3.pdf
    − Le site Internet européen dédié à cette campagne : http://www.fta-eu-latinamerica.org/fra/
    − La campagne française contre cet accord ici : http://aitec.reseau-ipam.org/spip.php?article1189 

  • Comment la mondialisation a tué l'écologie

    Modialisation.pngA signaler également la sortie récente du livre d'Aurélien Bernier.

    Le débat scientifique sur la réalité du changement climatique a ses imposteurs. Mais, en matière d’environnement, les plus grandes impostures se situent dans le champ politique.

    Lorsque l’écologie émerge dans le débat public au début des années 1970, les grandes puissances économiques comprennent qu’un danger se profile. Alors que la mondialisation du capitalisme se met en place grâce à la stratégie du libre échange, l’écologie politique pourrait remettre en cause le productivisme, l’intensification du commerce international et les délocalisations de l’industrie vers les pays à bas coût de main-d’oeuvre.

    Avant même que la communauté internationale ne se réunisse pour débattre des crises environnementales, les tenants de la mondialisation rédigent les conclusions : aucune mesure de protection de l’environnement ne devra entraver le commerce.

    Depuis quarante ans, un pacte tacite s’est instauré : au sein des gouvernements, des institutions internationales, lors des grands sommets, seules des mesures cosmétiques, ne portant pas atteinte au libre échange et à la mondialisation, sont tolérées. Il est grand temps de faire tomber les masques et raconter en détail l’histoire politique, totalement méconnue, qui révèle la supercherie d’une prétendue conversion à l’écologie des grands de ce monde.