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Attac Poitiers - ATTAC Vienne - Page 124

  • Le monde a besoin d’Attac, Attac a besoin de monde !

    Logo Attac.jpgCher⋅e⋅s ami⋅e⋅s d’Attac,

    Nous nous adressons à vous, compagnons de route, sympathisant⋅e⋅s ou ancien⋅ne⋅s adhérent⋅e⋅s d’Attac.

    En cet automne 2014, après le succès revigorant de l’Université européenne des mouvements sociaux, Attac entend jouer pleinement son rôle de fédérateur et de creuset des idées et des pratiques alternatives :

    • nous faisons campagne contre les traités de libre échange (TAFTA, CETA et TiSA), contre les multinationales et leur monde ;
    • nous nous mobilisons contre les projets inutiles et imposés, pour les alternatives avec les Alternatibas ;
    • nous poursuivons la campagne « Requins » contre les multinationales et les 1% qui fraudent le fisc et pillent la planète ;
    • nous préparons les grands rendez-vous internationaux, le Forum Social Mondial (FSM) 2015 à Tunis et la grande mobilisation citoyenne lors de la Conférence climatique de l’ONU à Paris en 2015 (COP21).Alors, faites le geste qui sauve et adhérez ou réadhérez au plus vite à Attac : c’est la condition indispensable à la poursuite de nos campagnes pour construire ensemble cet autre monde possible auquel nous aspirons tous

     

    Attac, Appel du 22 septembre

  • Sommet Climat à New York : oui à l’action, non aux fausses solutions

    Logo Attac.jpgLe 23 septembre, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies Ban Ki-moon organise un Sommet sur le climat. Les participants sont invités à annoncer « des mesures audacieuses » et à « passer à l’action ». Passer à l’action, oui. Mais pas pour promouvoir des fausses solutions comme la finance et la compensation carbone, les méga-projets exclusivement conçus par et pour les multinationales. Partout dans le monde des initiatives citoyennes alternatives existent : les soutenir devrait constituer l’enjeu principal des politiques publiques.

    Ce sommet est organisé en grande pompe. Mais à l’horizon, pas d’engagements chiffrés et suffisants de réduction d’émissions de gaz à effets de serre. Pas assez non plus de financements publics et additionnels. Pire encore : si les États, le secteur privé et la société civile sont invités à travailler ensemble, c’est sur la base de partenariats public-privé, des mécanismes de marché et des dispositifs de finance carbone. La feuille de route du sommet donne la priorité à la finance internationale et au secteur privé pour mettre en œuvre et financer la lutte contre le dérèglement climatique (voir notre note d’analyse des enjeux du sommet).

    Ban Ki-moon veut ainsi officialiser une « alliance mondiale pour une agriculture intelligente face au climat », qui renforcera en fait l’emprise de la finance et des multinationales sur l’agriculture. Il veut promouvoir les mécanismes REDD qui transforment les forêts en un nouveau business au prétexte de lutter contre le changement climatique. Seront annoncés des méga-projets d’énergies renouvelables, dont la réalisation et le financement sont confiés à des multinationales et aux marchés financiers, au détriment de projets contrôlés par les populations et adaptés à leurs besoins.

    A quinze mois de la 21e Conférence de la convention cadre de l’ONU sur le changement climatique que la France va accueillir au Bourget fin 2015, François Hollande et le gouvernement français feraient bien de renoncer à soutenir ces projets nocifs pour la planète, les populations et l’économie. Des pistes alternatives existent et devraient faire l’objet du soutien politique et financier des institutions internationales et des gouvernements. Avec plus de 330 organisations dans le monde, nous proposons, dans une déclaration rendue publique ce mardi 16 septembre, dix actions urgentes pour faire face aux dérèglements climatiques et à leurs conséquences.

    Pour être menées à bien, ces dix actions peuvent s’appuyer sur les énergies citoyennes et expériences alternatives qui fleurissent partout. Car partout des gens se mobilisent pour inventer des modes de vie, des pratiques et des biens et services qui satisfont les besoins, réduisent les émissions de gaz à effet de serre et renforcent les capacités des populations à faire face aux dérèglements climatiques. Avec nos partenaires, notamment avec la dynamique Alternatiba – ces « villages des alternatives » qui commencent à se multiplier en Europe, comme ce week-end à Gonesse (95) – nous montrons la vitalité des initiatives citoyennes. Confier les politiques climatiques aux multinationales et aux marchés financiers est irresponsable : une autre stratégie est possible, pour une transition écologique juste et démocratique.

    Informations complémentaires

    Communiqué d'Attac du 18 septembre

  • Raoul-Marc Jennar en Poitou-Charentes en octobre !

     autoc.pngDifférents collectifs invitent l'essayiste et politologue Raoul-Marc Jennar en octobre, dans plusieurs villes de la région, la liste ci-dessous :

    - lundi 20 octobre, à ANGOULEME (16), à à 20h, à la Salle des Fêtes de Gond Pontouvre, Place de l’Hôtel de Ville, commune limitrophe d'Angoulême. A l’invitation des Amis du Monde diplomatique 16 et d’ATTAC 16 Angoulême

    - Le mardi 21 octobre, à POITIERS (86), à 20 h 30 à la Maison du peuple, salle Timbaud (rue Saint Paul) à l'invitation du collectif poitevin "Stop Tafta-GMT".

    - Le mercredi 22 octobre, à CHATELLERAULT (86), à 20 H, à la salle de la Gornière, 15 rue de la Gornière. A l’invitation du Collectif châtelleraudais Stop Tafta.

    - Le jeudi 23 octobre, à TONNAY-CHARENTE (17) à 20h30, à l'Auditorium du Centre Richard, av. du Général de Gaulle. A l’invitation du collectif « Stop tafta-réseau saintongeais ».

    Le vendredi 24 octobre, à NIORT (79), à 20H30, salle rouge de la maison des associations, 12, rue Joseph Cugnot. A l’invitation d’Attac 79.

  • Rapport inédit - accord UE-Canada (CETA)

    Attac et l'Aitec publient aujourd'hui un rapport inédit, analysant le texte de l'accord commercial UE-Canada, CETA.  
    Alors que cet accord est prévu pour être signé le 25 septembre prochain, le texte n'est toujours pas rendu public. 

    Ce rapport d'Attac et de l'Aitec se base donc sur une version fuitée du projet d'accord. Il montre que l'accord économique et commercial global CETA ("Comprehensive Economic Trade Agreement"), négocié depuis 2009 entre l'Union européenne et le Canada, constitue par bien des aspects un cheval de Troie du traité transatlantique (Tafta). 

    Cet accord contient en effet tous les aspects identifiés « à risque » dans l’accord transatlantique. Or, sauf opposition des États membres, il sera finalisé lors de la réunion du 12 septembre du Comité Politique Commerciale (CPC) du Conseil de l’Union Européenne.

    Les deux associations appellent donc en urgence les citoyen.ne.s à interpeller leurs députés.

     -> Le rapport "CETA, marche-pieds pour l'Accord transatlantique" : https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports-37/article/structure-generale-de-l-accord

    -> La plate-forme de mobilisation et d'interpellation des parlementaires :  https://france.attac.org/se-mobiliser/le-grand-marche-transatlantique/article/ceta-le-cheval-de-troie-du-tafta

  • L’accord de commerce UE-Canada est en passe d’être conclu. Interpellons nos députés !

    Logo Attac.jpgL’Union européenne et le Canada scelleront officiellement leur accord le 25 septembre prochain. Vous pouvez interpeller vos députés en utilisant un outil mis à votre disposition par Attac et l’AITEC.

    L’Accord économique et commercial global (“Comprehensive Economic Trade Agreement”, CETA), négocié depuis 2009 entre l’Union Européenne et le Canada, est sur le point d’être conclu. Par bien des aspects, CETA constitue un test, un cheval de Troie du traité transatlantique (TAFTA).

    Cet accord sera finalisé, sauf opposition des États membres lors de la réunion du 12 septembre du Comité Politique Commerciale (CPC) du Conseil de l’Union Européenne ; il contient pourtant tous les aspects identifiés « à risque » dans l’accord transatlantique...

    Interpellons nos députés ! Vous pouvez cliquer sur le lien suivant pour ce faire : CETA, le cheval de Troie du TAFTA.

    Vous trouverez plus d’information ici !

    Attac France invite également les comités locaux et adhérents à interpeller directement leurs députés et à leur demander une rencontre par courrier. Toute disposition jugée dangereuse dans TAFTA doit dès maintenant être retirée de CETA !

     

    Communiqué d'Attac du 10 septembre