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Attac Poitiers - ATTAC Vienne - Page 46

  • Attac Infos rapides dans la Vienne : Manif climat samedi 14 mars

    Attac Infos rapides dans la Vienne : Manif climat samedi 14 mars

     
    Pour la manif climat de samedi, proposition de réaliser des vautours « Black Rock » (2 ou 3) sur le modèle de la vidéo (voir sur le site d’Attac : https://france.attac.org/actus-et-medias/les-videos/article/retraites-le-blackrock-bloc-d-attac-dans-la-manifestation-parisienne ) et la photo ci-dessous.
    Nous avons la bâche noire, les bambous et la peinture : reste la réalisation !
     
    Attac Black Rock.jpg
    La préparation de la marche pour le climat : plein de belles idées et un premier grand rapprochement des luttes sociales et climatiques à Poitiers autour de cette marche mondiale et de la soirée qui va suivre : cultures en luttes, étudiants, syndicats, associations telles que ATTAC, Greenpeace, ANV, ... ont travaillé ensemble à la construction de la journée et au delà. 
     
    Ce sera SAMEDI 14 MARS à 15 h (rendez vous à 14 h pour un atelier pancarte) 
    - 15 h: manifestation départ PLACE DE LA MAIRIE , animations ( la Planète malade,…)
    - soirée climatique à la Rotative à 18h30 (accueil chorale Les Tartagoules ?); 
    - 18h45 19h30 : 3 ateliers thématiques : « énergie, transports, alimentation », avec propositions d’actions suite à la marche. Puis la réunion plénière sera consacrée à la question: « Agir, mais comment?» 
    - 20h30: concert avec 3 groupes musicaux et des intermèdes courts sur les luttes locales en cours.   
     
    Précision :  cette soirée festive sera bénévole et les recettes reviendront pour 2/3 aux grévistes, et pour 1/3 pour le mouvement climatique. Buvette et nourriture assurée. 
     

     
     
    Les organisations Attac, CGT, Confédération Paysanne, FSU, Greenpeace, Les Amis de la Terre, Oxfam, Union Syndicale Solidaires appellent à participer massivement aux marches pour le climat le 14 mars prochain.
     

    Jamais il n’a été aussi urgent d’affronter ensemble les crises sociales et écologiques. Les alertes des scientifiques se succèdent pour expliquer que nous sommes la dernière génération à pouvoir agir pour y faire face. Le climat et les enjeux sociaux figurent en tête des préoccupations de la population et le soutien aux mobilisations récentes pour les retraites et les services publics a été massif. Mais le gouvernement reste sourd adoptant une même logique : le refus de parler d’une autre répartition des richesses est justifié par une course sans fin à la croissance faisant fi de la situation écologique.

    Nous sommes pourtant convaincu-e-s que la résolution de ces crises réside dans une profonde remise en cause du système politique et économique actuel, que nous devons collectivement exiger du gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et les inégalités sociales.

    L’État, en lien avec les collectivités locales, doit pour cela reprendre ses habits délaissés de planificateur, afin d’organiser au mieux la transition agricole, industrielle et énergétique nécessaire et veiller à accompagner solidement tout-e-s les salarié·e·s dans l’évolution des métiers. Les travailleuses et travailleurs et leurs organisations doivent pouvoir participer et décider au sein du processus de reconversion. Le développement de services publics de qualité et de proximité et la création de millions d’emplois sont également nécessaires à la transition écologique et sociale.

    Nous devons enfin contraindre les multinationales, banques et institutions financières à cesser d’alimenter le changement climatique, à protéger et respecter les droits des salarié-e-s, préserver et renforcer les acquis sociaux et non les faire reculer.

    Combattre les dérèglements climatiques, c’est aussi refuser l’injustice sociale. Se déplacer, se nourrir, se loger, se chauffer, produire, consommer autrement est possible et souhaitable. Les alternatives sont connues et nombreuses et pourtant les décideurs politiques et économiques retardent leur mise en œuvre au nom d’intérêts particuliers. Ensemble, exigeons une meilleure répartition des richesses pour garantir une existence digne pour chacun-e. Ensemble, exigeons une réelle transformation de notre système pour répondre à l’urgence climatique.

    Le 14 mars, nous marcherons ensemble pour faire entendre nos déterminations communes.

  • 15e festival Raisons d'Agir à Poitiers les 1, 2 et 3 avril

    Ci-dessous le pré-programme du 15ème festival "Raisons d'Agir" 2020 consacré cette année à la questions des inégalités :

    Pre-Programme Raisons d-agir 2020.pdf

     

  • Le 14 mars, nous marcherons ensemble pour faire entendre nos déterminations communes

    Attac.pngLes organisations Attac, CGT, Confédération Paysanne, FSU, Greenpeace, Les Amis de la Terre, Oxfam, Union Syndicale Solidaires appellent à participer massivement aux marches pour le climat le 14 mars prochain.

     
     

    Jamais il n’a été aussi urgent d’affronter ensemble les crises sociales et écologiques. Les alertes des scientifiques se succèdent pour expliquer que nous sommes la dernière génération à pouvoir agir pour y faire face. Le climat et les enjeux sociaux figurent en tête des préoccupations de la population et le soutien aux mobilisations récentes pour les retraites et les services publics a été massif. Mais le gouvernement reste sourd adoptant une même logique : le refus de parler d’une autre répartition des richesses est justifié par une course sans fin à la croissance faisant fi de la situation écologique.

    Nous sommes pourtant convaincu-e-s que la résolution de ces crises réside dans une profonde remise en cause du système politique et économique actuel, que nous devons collectivement exiger du gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et les inégalités sociales.

    L’État, en lien avec les collectivités locales, doit pour cela reprendre ses habits délaissés de planificateur, afin d’organiser au mieux la transition agricole, industrielle et énergétique nécessaire et veiller à accompagner solidement tout-e-s les salarié·e·s dans l’évolution des métiers. Les travailleuses et travailleurs et leurs organisations doivent pouvoir participer et décider au sein du processus de reconversion. Le développement de services publics de qualité et de proximité et la création de millions d’emplois sont également nécessaires à la transition écologique et sociale.

    Nous devons enfin contraindre les multinationales, banques et institutions financièresà cesser d’alimenter le changement climatique, à protéger et respecter les droits des salarié-e-s, préserver et renforcer les acquis sociaux et non les faire reculer.

    Combattre les dérèglements climatiques, c’est aussi refuser l’injustice sociale. Se déplacer, se nourrir, se loger, se chauffer, produire, consommer autrement est possible et souhaitable. Les alternatives sont connues et nombreuses et pourtant les décideurs politiques et économiques retardent leur mise en œuvre au nom d’intérêts particuliers. Ensemble, exigeons une meilleure répartition des richesses pour garantir une existence digne pour chacun-e. Ensemble, exigeons une réelle transformation de notre système pour répondre à l’urgence climatique.

    Le 14 mars, nous marcherons ensemble pour faire entendre nos déterminations communes.

    Communiqué du 4 mars 2020

     
     

    Informations complémentaires

  • Le GreenDeal européen n’est-il qu’un greenwashing institutionnalisé ?

    Attac2.jpgMercredi 12 février, il s’est trouvé une majorité de députés européens pour successivement voter en faveur des nouveaux accords de commerce et d’investissement entre l’UE et le Vietnam et pour le financement de 55 nouveaux projets gaziers en Europe. Ces deux votes sont manifestement à la fois contraires au GreenDeal récemment présenté par la Commission européenne et aux engagements pris par le Parlement européen lui-même. Loin de la profonde mutation annoncée, le GreenDeal européen est-il autre chose qu’un pâle ripolinage en vert des classiques et surannées politiques néolibérales et productivistes menées à Bruxelles ? Au moment où Emmanuel Macron se rend à Chamonix pour défendre un pseudo « tournant vert », les députés européens Renaissance qu’il a soutenus ont voté en faveur de cet accord de commerce et de ces projets gaziers.

    Les accords de commerce et d’investissement UE-Vietnam étaient les premiers à être soumis aux députés européens élus en mai dernier [1]. Le Parlement européen a d’ailleurs voté le 15 janvier dernier une résolution affirmant que « tous les accords internationaux en matière de commerce et d’investissement (devraient) comporter des chapitres solides, contraignants et applicables, notamment en matière de climat et d’environnement, qui respectent pleinement les engagements internationaux, en particulier l’accord de Paris ». Comme cela est reconnu de tout bord, ce n’est pas le cas des accords UE-Vietnam : les chapitres sur le développement durable ne sont ni contraignants ni exécutoires, ne pouvant être mobilisés dans le cadre d’un règlement des différends.

    Dans une déclaration publiée en amont du vote, 68 ONG, associations et syndicats demandaient comment pouvait-on encore, en 2020, « ratifier des accords de commerce qui concourent à approfondir la mondialisation des échanges et l’aggravation des émissions de gaz à effet de serre et la crise écologique », qui plus est lorsque c’est « avec des pays qui ne respectent pas les droits humains et sociaux et les libertés fondamentales ». En votant massivement pour cet accord, tout en reconnaissant pour certains qu’il n’est pas climato-compatible, les députés européens Renaissance, élus avec l’appui d’Emmanuel Macron et de La République En Marche, font la démonstration que leurs engagements de campagne visant à « faire évoluer la politique commerciale européenne » n’étaient que des paroles sans lendemain.

    Lors de cette même session du Parlement européen, à peine un quart des députés se sont opposés à la liste des projets d’intérêt commun en matière énergétique (PCI list) qui comprend 55 nouveaux projets d’infrastructures gazières à financer dans les prochaines années [2]. Ces 55 nouveaux projets, dont le montant global avoisine les 29 milliards d’euros, vont à la fois aggraver la dépendance gazière des pays européens pour de nombreuses décennies, retardant ainsi la transition énergétique, et, par conséquent, accélérant les dérèglements climatiques.

    De quelle « neutralité carbone d’ici à 2050 » parlent donc la Commission, le conseil et le Parlement européens s’il s’agit encore d’investir des milliards d’euros dans des projets d’infrastructures fossiles au détriment de la transition énergétique ? Les scénarios climat de long terme de la Commission européenne indiquent que la consommation de gaz doit diminuer de 60 à 90% d’ici à 2050 : puisque les infrastructures gazières européennes sont déjà en surcapacités, entériner la construction de nouvelles infrastructures de ce type entre en contradiction fondamentale avec une lutte déterminée contre les dérèglements climatiques.

    Que le président de la commission environnement du Parlement européen, vote en faveur de ces projets gaziers en disant espérer que la Commission les écarte par la suite illustre le décalage grandissant existant entre les aspirations de ces millions de jeunes mobilisés pour le climat et exigeant des mesures immédiates, et des pratiques politiques qui conduisent toujours à repousser au lendemain ce qui devrait être fait aujourd’hui : il était l’heure que les députés européens envoient un message clair à l’industrie gazière sur le fait que leurs projets inutiles ne seraient acceptés et plus financés sur fonds publics. Cela n’a malheureusement pas été le cas.

    Pour Maxime Combes, porte-parole d’Attac France, « ces deux votes illustrent l’inertie coupable de la Commission, du Conseil et du Parlement européens : ratifier un accord de commerce avec une dictature et entériner la construction de nouveaux projets gaziers nous enferment dans des politiques néolibérales, productivistes et climaticides bien éloignées des discours sur le Green Deal ou la transition énergétique ».

    Attac France appelle à amplifier les mobilisations à venir, contre le CETA et pour le climat, afin d’ouvrir la porte à de véritables politiques de transformation sociale et écologique dont nous avons urgemment besoin.

    Communiqué Attac du 12 février

    [1Attac France est signataire de la déclaration de 68 ONG appelant à ne pas ratifier les nouveaux accords de commerce et d’investissement avec le Vietnam

    [2Attac France est également signataire de la lettre de déclaration de la société civile européenne appelant à rejeter les projets gaziers de la PCI list, publiée en octobre 2019

  • Fête de la Confédération Paysanne 86 le 7 mars

    La Confédération Paysanne de la Vienne, syndicat agricole, s’est donné comme principal objectif de travailler et de sensibiliser au thème de l’engagement des femmes dans l’agriculture.

    Dans ce cadre, la première action sur l’égalité femmes-hommes sera la présentation d’un théâtre forum s’intitulant « Les cultiv’actrices » auquel nous vous convions :

    Le samedi 7 mars de 16 h 30 à 18 h 30 Salle des fêtes d’Aslonnes (86340)

    Garderie assurée (sur réservation), commençons par lever le frein de la contraintes domestiques

    Ce Théâtre forum, organisé la veille de la journée internationale des Droits de la Femme, est proposé en collaboration avec la compagnie du mauvais genre.

    A la suite de cette action, une progression collective sur l’année 2020-2021 est prévue,

    Nous vous proposons de continuer la soirée avec nous :  repas paysan suivi d'un bal folk animé par la boite à folk, 

     

    Affiche théatre forum.pdf