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Activités Attac - Page 18

  • Attac Infos rapides du 17 novembre : Visio d'Attac 86 le 18 novembre

    Attac.pngAttac Infos rapides du 17 novembre

     
    Comme annoncé la semaine dernière, nous vous proposons une réunion en visio demain mercredi 18 novembre de 19 h à 20 h 30 en cliquant sur le lien suivant : https://meet.systea.fr/Attac86

    Le « salon »  sera ouvert un peu avant 19 h.

    Nous aborderons notamment : enquête publique « Bassines », Notre assiette pour demain/Pour une autre PAC,…
     
     
    Si vous souhaitez rejoindre cette réunion, merci de répondre par retour à ce message pour avoir une idée du nombre de personnes susceptibles d’être présentes.
  • Moins d’emplois en France et (beaucoup) plus de dividendes : vingt ans de soumission du CAC40 aux marchés financiers

    Attac.pngEn 20 ans, les dividendes des entreprises du CAC40 ont augmenté de 265%, presque quatre fois plus vite que leur chiffre d’affaires et dix fois plus vite que leur effectif mondial. Leur effectif en France a baissé dans le même temps de 12%, et elles restent très présentes dans les paradis fiscaux. Le sixième chapitre de l’édition 2020 de « CAC40 : le véritable bilan annuel » publié par l’Observatoire des multinationales en partenariat avec Attac France, présente des chiffres inédits qui montrent comment le CAC40, abreuvé d’aides publiques à l’occasion de la crise sanitaire, apporte de moins en moins à l’économie française.

    À l’occasion de la pandémie de Covid-19, les pouvoirs publics ont débloqué des aides financières massives pour soutenir l’économie et l’emploi, qui ont profité de manière disproportionnée, et sans aucune conditionnalité stricte, aux grandes entreprises. Une partie de ces aides ont été justifiées au nom de la “souveraineté économique” et du soutien à la “relocalisation”.

    Mais le CAC40 est-il au service d’autre chose que de lui-même et des marchés financiers ? Le nouveau chapitre de CAC40 : le véritable bilan annuel atteste, chiffres à l’appui, de la financiarisation croissante de la gestion des grandes entreprises françaises, aux dépens de l’emploi, de leur responsabilité fiscale et de l’intérêt général. Par comparaison avec l’an 2000, et alors que les aides publiques au secteur privé ont explosé, elles versent presque quatre fois plus de dividendes à leurs actionnaires, alors qu’elles ont rogné sur l’emploi en France.

    C’est précisément pourquoi, malgré les aides publiques obtenues pour faire face à la crise sanitaire, les grands groupes français ont globalement refusé de remettre en cause leur politique de dividendes, tout comme de s’engager sur l’emploi ou sur la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre. C’est ce que montre Allô Bercy ?, le premier chapitre de CAC40 : le véritable bilan annuel.

    Ce nouveau chapitre révèle également que les groupes du CAC40 restent solidement ancrés dans les paradis fiscaux. Environ 15% de leurs filiales sont basées dans des pays et des territoires considérés comme des paradis fiscaux et judiciaires, qui ne sont pas seulement de petites îles lointaines, comme la liste officielle du gouvernement français voudrait le faire croire, mais aussi des pays comme le Luxembourg ou les Pays-Bas.

    LVMH est le champion français de la présence dans les paradis fiscaux, avec plus d’un quart de ses filiales basées dans ces territoires. Le groupe de Bernard Arnault, qui est aujourd’hui la première capitalisation boursière du CAC40, a multiplié ses versements de dividendes par neuf depuis l’an 2000. Les actionnaires de LVMH devraient bénéficier de 1 milliard de dividendes supplémentaires ce 1er décembre.

    Plus d'informations sur : https://multinationales.org/?pk_campaign=Infolettre-2622&pk_kwd=multinationales-org

  • Il y a forcément un livre pour vous dans la boutique d’Attac !

    Chère amie, cher ami,

    A l’aube de ce second confinement, et à l’approche des fêtes de fin d’année, la librairie en ligne d’Attac reste ouverte. Vous y trouverez toutes les dernières publications d’Attac et des personnalités proches de l’association. Acheter ces ouvrages dans notre boutique est un moyen de soutenir financièrement Attac, en plus de garnir votre bibliothèque de lectures militantes pour préparer des lendemains plus heureux !


    La meilleure vente, pour celles et ceux qui ont besoin d’optimisme

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    Le Manuel d’histoire du futur : 2020-2030 tente d’imaginer dans quel monde nous pourrions vivre demain si nous faisions dès aujourd’hui d’autres choix : des choix qui permettraient de sortir du dogme néolibéral, de renforcer les solidarités, de placer l’humain au centre, de garantir toutes les formes de liberté et d’égalité, et de réaliser vraiment la transition écologique. Et si 2020 était l’année du changement de cap ?

    En voici même un extrait pour vous convaincre d’y plonger !


    Nos autres publications, pour toutes les envies

    Pour qui veut faire un premier pas vers le monde d’après.

    Ce qui dépend de nous - manifeste pour une relocalisation écologique et solidaire

    Attac France (avec 40 militant·es et chercheurs·euses)

    Les mouvements sociaux et altermondialistes travaillent depuis plus de vingt ans, en alliance avec des scientifiques, à concevoir et expérimenter des alternatives : elles sont aujourd’hui mûres, crédibles et radicales. Pour les imposer aux dominants, il va falloir les partager et les bonifier avec le plus grand nombre, et nourrir nos luttes par des complicités et des alliances inédites. Voilà « ce qui dépend de nous ». Lire la suite.

    Pour qui veut revivre 20 années d’altermondialisme.

    L’abécédaire engagé

    Attac France (et 60 auteur·ices)

    Publié à l’occasion des vingt ans d’Attac, ce beau livre se lit comme l’histoire (en construction) des résistances et des alternatives en faveur d’un monde juste, écologique, démocratique et solidaire. Au détour des pages, des images superbes donnent vie aux événements, aux mobilisations et aux actions menées par Attac et ses partenaires au long de ces vingt dernières années. Il s’agit ici de se réapproprier les mots et le désir d’agir qui fondent la possibilité d’un autre monde. Une soixantaine d’auteur·ices ont façonné cet abécédaire engagé ! Lire la suite.

    Pour qui veut mettre fin aux inégalités.

    Toujours plus pour les riches

    Attac France (coordonné par Isabelle Bourboulon, Vincent Drezet, Dominique Plihon)

    Ce livre dresse un panorama de l’ensemble des enjeux fiscaux : il décrypte les arcanes de la fiscalité et montre pourquoi celle-ci est devenue injuste et inefficace et met à bas les idées reçues. Il présente des propositions de réformes adaptées aux vraies préoccupations sociales et écologiques. Réduire les inégalités, protéger la planète, mettre fin à l’impunité fiscale et contraindre les multinationales à payer l’impôt là où elles développent leur activité : telles sont les priorités de la fiscalité de ce XXIe siècle. Lire la suite.

    Pour qui veut mettre au pas la finance.

    10 ans après la crise : Prenons le contrôle de la finance

    Attac France, Attac Allemagne et SOMO

    Nous ne supportons plus devoir payer pour les dérives du secteur financier. Plus encore, nous ne croyons plus à une croissance sans limites, à une question écologique secondaire, ou à une société qui pourrait vivre sans désordre avec de fortes inégalités. Publié en plusieurs langues, ce livre donne des clés de compréhension aux citoyennes et aux citoyens afin qu’ils s’approprient le débat sur la finance. Il présente les réformes nécessaires pour mettre la finance au service de la société. Lire la suite.

    Pour qui ne veut pas reproduire deux fois la même erreur.

    Cette crise qui n’en finit pas : par ici la sortie

    Attac France (Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Esther Jeffers, Frédéric Lemaire, Dominique Plihon)

    La crise de 2008 est l’expression d’un système économique capitaliste à bout de souffle, qui épuise le travail et la nature. Ce livre décrypte les causes de cette crise globale et pointe les raisons profondes de la permanence de cette situation. Dans ce nouvel ouvrage, Attac propose des voies pour une véritable sortie de crise en considérant que l’épuisement du système économique et social dominant constitue une opportunité historique pour opérer le basculement vers un système alternatif. Lire la suite.

    Pour qui souhaite un autre avenir aux générations futures.

    Crime climatique, stop !

    Naomi Klein, Vandana Shiva, Jean Jouzel, Susan George, Desmond Tutu, Bill McKibben, Geneviève Azam, Pablo Solon...

    Le dérèglement climatique tue. Il bouleverse des centaines de millions de vies, à commencer par celles des plus pauvres et des plus fragiles. Ce livre porte la voix de personnalités du monde entier, de chercheurs conscients de l’impasse actuelle, mais aussi celle d’innombrables victimes, réfugiés climatiques et collectifs en lutte contre la machine à réchauffer la planète. Tous nous rappellent la réalité du réchauffement climatique en cours, les souffrances et les inégalités qu’il produit et nous montrent les voies pour sortir de l’âge des fossiles. Lire la suite.

     
     

    Soutenons les librairies indépendantes !

    Au-delà du tout petit catalogue de la librairie en ligne d’Attac, pour tous vos achats de livres, nous vous encourageons à vous tourner vers les librairies indépendantes, qui pour beaucoup, restent actives. La plupart vous proposent la commande en ligne, à venir récupérer ensuite sur place. L’initiative Stop Amazon vous propose également ces alternatives. Dans tous les cas, ne laissons pas les grandes plateformes en ligne profiter de cette période !

  • Après les député·e·s, les sénateurs et sénatrices manquent de vision et de courage en votant pour le retour des « insecticides tueurs d’abeilles »

    Après les député·e·s, les sénateurs et sénatrices manquent de vision et de courage en votant pour le retour des « insecticides tueurs d’abeilles »

    Après les député·e·s, le Sénat vient de donner son feu vert à la réautorisation des néonicotinoïdes après un débat des plus clivants. Malgré l’opposition déterminée de nombreux sénateurs et sénatrices, une majorité (à 56 voix) a décidé d’entériner une décision qui met à mal la biodiversité dans un état déjà catastrophique et la durabilité de nos pratiques agricoles. Face à ce recul historique, nos organisations alertent les pouvoirs publics : elles n’en resteront pas là et se battront pour la biodiversité, la santé humaine et un avenir agricole durable.

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    La soirée aura été marquée par un rebondissement notable : l’adoption à une voix près par scrutin public de 3 amendements de suppression de l’article 1er réautorisant les néonicotinoïdes, suite à l’erreur d’un groupe politique. In fine, en fin de soirée, après un nouveau vote demandé par Julien Denormandie, le Sénat a adopté comme attendu à une majorité le retour des néonicotinoïdes. Les élus de droite et du centre ont majoritairement voté en faveur de cette loi qui enterre les lois votées en 2016 (loi biodiversité) et 2018 (loi agriculture et alimentation issue des EGA) instaurant pourtant l’interdiction des néonicotinoïdes (ainsi que toutes les substances ayant le même mode d’action).

    La loi sera promulguée probablement d’ici novembre, laissant le temps aux semenciers d’enrober leurs graines de ces poisons systémiques. Nos organisations ont démontré qu’il existait d’autres voies que celle de céder aux sirènes alarmistes de certains représentants de producteurs de betteraves. Nous n’avons eu de cesse d’argumenter sur le fait que le retour de ces insecticides se faisait sur le lit de trop nombreuses contre-vérités. Nous n’avons eu de cesse de rappeler que la jaunisse était le bouc émissaire d’une filière betterave en mauvaise santé économique depuis 2017, que cette réautorisation était le résultat d’un lobby intense auprès des pouvoirs publics depuis la promulgation de la loi biodiversité.

    Le retour de ces insecticides néfastes aura des conséquences qui seront désastreuses pour notre environnement et pour le monde agricole. Ce retour est une atteinte au principe directeur de non-régression du droit de l’environnement dont le Conseil constitutionnel a déjà fait application. Et rappelons que ces substances chimiques, utilisées pour enrober les semences de betteraves à sucre, sont également dangereuses pour la santé.

    Nous ne pouvons accepter un tel choix qui va à rebours de l’histoire et participe à accroître la défiance des citoyens vis-à-vis des politiques. C’est pourquoi nous ne comptons pas en rester là. Nos organisations continueront de se mobiliser par tous les moyens pour empêcher un tel échec.

    Communiqué du 28 octobre 2020.

    Organisations signataires :

    • > Agir pour l’environnement
    • > AMLP
    • > Attac France
    • > Combat Monsanto
    • > Confédération paysanne
    • > Fondation Nicolas Hulot
    • > Foodwatch France
    • > France Nature Environnement
    • > Générations Futures
    • > Ingénieurs sans Frontière, Groupe Agriculture et souveraineté alimentaire
    • > Justice Pesticides
    • > Les Amis de la Terre
    • > Pollinis
    • > Réseau Environnement Santé
    • > Syndicat national d’apiculture
    • > Terre & Humanisme
    • > Terre d’Abeilles
    • > Union nationale de l’apiculture française
    • > WECF France
    • > Miramap
    • > Mouvement de l’Agriculture BioDynamique
    • > Syndicat des Apiculteurs d’Occitanie
    • > UFC - Que choisir
  • Néonicotinoides : interpellez les sénateurs de la Vienne !

    Attac.pngUne initiative des "Coquelicots du Calvados" relayée par Attac Calvados à diffuser auprès de vos contacts, collègues, voisin.e.s, ami.e.s, etc. 

    C'est le 27 octobre prochain que le Sénat examinera le projet de loi de ré-autorisation des néonicotinoïdes.

    Le 6 octobre dernier, les député-e-s avaient majoritairement voté pour ce poison, à 313 voix contre 158. On peut retrouver ces votes sur https://trombi-neonics.agirpourlenvironnement.org/ .

    Maintenant, interpellons les Sénateurs avant qu'il ne soit trop tard !

    L’outil général est https://shaketonpolitique.org/interpellations/stop-neonicotinoide-parlementaires/ .

    Ce sont les député-e-s LREM, de droite et du centre qu’il faut interpeller.

    Au minimum, il faut se charger des 2 Sénateurs de la Vienne – Bruno Belin (LR) et Yves Bouloux (LR). Tous les jours jusqu’au 27/10, on peut aussi interpeller les Sénateurs des départements voisins...

    Pour aller plus vite, voici un courrier que vous pouvez leur envoyer (en l’adaptant selon le sexe du sénateur destinataire).

    Tenez-nous au courant de vos éventuelles réponses, svp.

     
     

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    (Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,)

    Le 27 octobre prochain au Sénat, vous devrez vous prononcer sur le projet de loi portant sur "la mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques", plus précisément sur la ré-autorisation des néonicotinoïdes dans la culture de la betterave sucrière.

    Je suis très inquiet si ce projet de loi était accepté au Sénat après l’avoir été à l’Assemblée nationale le 6 octobre dernier.

    A mon avis, la ré-introduction des néonicotinoïdes comme insecticide dans l'agriculture est une très mauvaise nouvelle pour la préservation de la biodiversité et, en bout de chaîne, la santé humaine. Elle n'est pas non plus une solution à la crise économique qui touche la production des betteraves sucrières

    Comme les associations environnementales et de défense des consommateurs ainsi que des syndicats agricoles et apicoles le rappellent, les agriculteurs de la filière betteravière souffrent de difficultés économiques structurelles, liées à la dérégulation du marché. Il faut des solutions économiques et agronomiques pour préserver les emplois et rendre cette filière plus résiliente, sans ré-autorisation de substances dramatiquement dangereuses pour la biodiversité et la santé.

    De nombreuses études économiques et scientifiques attestent de la contamination et de la persistance des néonicotinoïdes dans les cours d’eau et les sols, bien au-delà des parcelles traitées, et de leurs effets létaux sur les abeilles et une multitude d’autres espèces : pollinisateurs sauvages, vers de terre, crustacés… et par ricochet sur les chaînes alimentaires, poissons, oiseaux etc.

    Ainsi, on sait que les abeilles et les invertébrés des sols sont victimes d’une extinction de masse.

    Ainsi, on sait que les molécules néonicotinoïdes ne connaissent pas de barrière physique ni temporelle. Elles sont stockées dans le sol où elles ont une permanence très longue, elles se dispersent au-delà des limites parcellaires, elles passent les barrières entre les espèces, elles sont maintenant présentes dans nos assiettes.

    Déjà, on sait que le réchauffement climatique bouleverse les pratiques culturales. Peut-on imaginer sérieusement que la chimie de synthèse devienne la solution pour pallier aux dégâts dus aux sécheresses ?

    Déjà, on sait aussi que la libéralisation du commerce international a engendré une crise de surproduction de la betterave et donc sa moindre rentabilité. Est-ce que ce sont les pucerons verts qui sont responsables de la fermeture de la raffinerie de Cagny ?

    Déjà, on sait que l’agriculture intensive mène les paysans à l’endettement et au suicide.

    Et on sait aussi que des alternatives existent, dans l’agro-écologie et les reconversions en bio. A quand les mesures d’accompagnement pour sortir de ce piège économique ?

    Après avoir été interdits avec la Loi biodiversité de 2016, le retour des néonicotinoïdes est donc une proposition incompréhensible, qui interroge fortement sur les réelles priorités au moment même où un renforcement des politiques publiques environnementales est annoncé au plus haut niveau de l’État.

    Je fais appel à votre clairvoyance pour protéger la biodiversité et la santé humaine, pour porter et mettre en oeuvre des solutions de long terme – qu’est-ce qui a été fait depuis 2016 ? - qui permettront de protéger et soutenir les agriculteurs d’aujourd’hui et de demain.

    D’avance, merci d’adopter la seule position qui vaille en
    votant CONTRE ce projet de loi.

    Veuillez agréer, (Madame ou Monsieur le Sénateur), l'expression de mes sentiments respectueux.

     

     

    Pour votre information :

    - argumentaire des ONG (26 pp.) : https://www.generations-futures.fr/wp-content/uploads/2020/10/oui-non-neonictoinoides-version-finale-151020-1.pdf

    - un focus Vrai/Faux : https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/focus-vrai-faux-extrait-du-rapport-insecticides-neonicotinoides-et-filiere-betteraviere/

    basé sur le rapport (42 pp.) : https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/insecticides-neonicotinoides-et-filiere-betteraviere-le-vrai-du-faux/

    - FranceTvInfo : « Il y a plein de méthodes alternatives pour cultiver la betterave » sur https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/neonicotinoides-il-y-a-plein-de-methodes-alternatives-pour-cultiver-la-betterave-assure-un-chercheur_4129705.html

    - un député LREM vote contre : https://www.actu-environnement.com/ae/news/neonicotinoides-projet-loi-vote-contre-jean-charles-colas-roy-interview-36223.php4

    - « Il y a un consensus scientifique sur les néonicotinoïdes » sur https://www.mediapart.fr/journal/france/041020/vincent-bretagnolle-il-y-un-consensus-scientifique-sur-les-neonicotinoides

    - « En bio, la betterave à sucre ne se trouve pas si mal » sur https://www.mediapart.fr/journal/france/140920/alternatives-aux-neonicotinoides-en-bio-la-betterave-sucre-ne-se-porte-pas-si-mal

    - Les apiculteurs s’opposent aux néonicotinoïdes : https://www.unaf-apiculture.info/actualites/non-aux-neonicotinoides-les-apiculteurs-et-syndicats-de-l-union-nationale-de-l.html

    et https://www.unaf-apiculture.info/actualites/vote-sur-les-neonicotinoides-pour-l-union-nationale-de-l-apiculture-francaise-c.html

     

    Coordonnées des Sénateurs de la Vienne :

    - Bruno Belin sénateur LR : Mél : b.belin@senat.fr

     Adresse Sénat : Casier de la Poste, 15 rue de Vaugirard, 75291 Paris Cedex 06

    - Yves Bouloux sénateur LR : Mél : y.bouloux@senat.fr

    Adresse Sénat : Casier de la Poste, 15 rue de Vaugirard, 75291 Paris Cedex 06