J-8 avant le début de l’AlterVillage d’Attac ! Du 14 au 21 juillet dans l’Indre
Cher·e·s adhérent·e·s d’Attac,
L’édition 2016 de l’AlterVillage aura lieu du 14 au 21 juillet, au Relais des Pas Sages, lieu associatif au sein d’une ferme de l’Indre, près de Châteauroux. Ce village alternatif permet une réflexion sur les enjeux actuels, les formes d‘actions et les pratiques militantes. Cette année, au programme : démocratie participative, logiciel libre, susciter la mobilisation, permaculture, alternatives agricoles locales, luttes et droits des femmes, fraude fiscale, artivisme… chantier participatif, forum ouvert… soirées pour se retrouver, danser, partager ses talents…
L’AlterVillage est un espace temporaire où s’organise une vie collective, on y fait l’apprentissage du vivre ensemble et de la prise de responsabilités collectives : ici, ni organisateur ni consommateur, mais tous acteurs ! C’est une occasion de mettre en adéquation nos idées et nos modes de vie, d’expérimenter l’intelligence collective à partir des principes de non-violence, d’autogestion et du refus de tout comportement discriminatoire.
L’AlterVillage est ouvert à toutes et tous, adhérent·e·s ou sympathisant·e·s d’Attac.
Infos sur le site : https://france.attac.org/agenda/article/9e-altervillage-d-attac#Inscriptions
 Le Premier ministre, suivi du Premier secrétaire du Parti socialiste, puis du Président de la République, a tenu des propos inadmissibles au lendemain de la journée de mobilisation contre la loi travail du 14 juin. Manuel Valls accuse la CGT d’être responsable des violences intervenues en marge de la manifestation nationale qui s’est tenue à Paris et qui a rassemblé des centaines de milliers de personnes, n’en déplaise au Premier ministre. Le Président de la République se dit prêt à réfléchir à l’interdiction des prochaines manifestations. Attac exige que soit respectée la liberté de manifestation.
Le Premier ministre, suivi du Premier secrétaire du Parti socialiste, puis du Président de la République, a tenu des propos inadmissibles au lendemain de la journée de mobilisation contre la loi travail du 14 juin. Manuel Valls accuse la CGT d’être responsable des violences intervenues en marge de la manifestation nationale qui s’est tenue à Paris et qui a rassemblé des centaines de milliers de personnes, n’en déplaise au Premier ministre. Le Président de la République se dit prêt à réfléchir à l’interdiction des prochaines manifestations. Attac exige que soit respectée la liberté de manifestation.
 En réponse au déni de démocratie du gouvernement, l’intersyndicale CGT, FSU, FO, SOLIDAIRES, UNEF, UNL, FIDL a decidé de lancer une votation citoyenne dans les entreprises, les administrations, les lieux d’étude. Cette initiative s’inscrit en complément des autres formes de mobilisations qu’il faut poursuivre et amplifier pour gagner : grèves, manifestations, blocages, Nuits debout...
En réponse au déni de démocratie du gouvernement, l’intersyndicale CGT, FSU, FO, SOLIDAIRES, UNEF, UNL, FIDL a decidé de lancer une votation citoyenne dans les entreprises, les administrations, les lieux d’étude. Cette initiative s’inscrit en complément des autres formes de mobilisations qu’il faut poursuivre et amplifier pour gagner : grèves, manifestations, blocages, Nuits debout...