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Europe - Page 14

  • "En finir avec l'Union européenne" jeudi 28 novembre au Local

    Dans votre agenda : rappel

    L'association "Questions politiques" qui a démarré un programme de débats au mois de septembre, avec une première soirée sur les retraites, organisera d'autres évènements jusqu'en juin prochain. Voici la prochaine date déjà connue :
     
    Jeudi 28 novembre, à 20 h 30, avec Cédric Durand, au Local (rue St Pierre le Puellier). Cédric Durand est économiste à l'Université de Paris 13, il est coordonnateur du livre "En finir avec l'Europe", paru aux éditions La Fabrique, cette année. Il viendra nous exposer ses propositions lors de la conférence-débat :  "En finir avec l'Union européenne"
     
    organisée par l'association "QUESTIONS POLITIQUES", soutenue par les amis du Monde diplomatique, Raisons d’agir et la Société Louise Michel,
     
     Le jeudi 28 novembre,  à 20h30
     
    Au Local, 16, rue Saint pierre le Puellier, à Poitiers

  • Attac Infos rapides 20 novembre - Questions politiques : Trois dates à venir.

    L'association "Questions politiques" qui a démarré un programme de débats au mois de septembre, avec une première soirée sur les retraites, organisera d'autres évènements jusqu'en juin prochain. Voici les prochaines dates déjà connues :
     
    Jeudi 28 novembre, à 20 h 30, avec Cédric Durand, au Local (rue St Pierre le Puellier). Cédric Durand est économiste à l'Université de Paris 13, il est coordonnateur du livre "En finir avec l'Europe", paru aux éditions La Fabrique, cette année. Il viendra nous exposer ses propositions lors de la conférence-débat :  "En finir avec l'Union européenne"
     
    organisée par l'association "QUESTIONS POLITIQUES", soutenue par les amis du Monde diplomatique, Raisons d’agir et la Société Louise Michel,
     
     Le jeudi 28 novembre,  à 20h30
     
    Au Local, 16, rue Saint pierre le Puellier, à Poitiers
     
    Mercredi 15 janvier à 20 h 30, une conférence-débat avec Louis Weber, au Plan B, A partir du livre dont il est un des co-auteurs : "La gauche radicale en Europe", aux éditions du Croquant.
     
    Mardi 18 mars à 20 h 30, avec Willy Pelletier, Catherine Leclercq et Bertrand Geay, conférence-debat autour du manifeste  "Champ libre pour les sciences sociales" (Lieu à préciser)
     
    L'Union européenne est porteuse dès sa fondation, selon les auteurs de "En finir avec l'Europe", d'une destruction concertée du droit des travailleurs, d'une négation de la volonté des peuples. L'Union européenne est animée par des textes dont le Traité constitutionnel européen fut un des principaux. Ce traité fut rejeté par une majorité de l'électorat français en 2005, rejet qui fut méprisé par les dirigeants politiques de France comme d'Europe; c''est de cette Union européenne dont nous allons reparler lors des élections de 2014. Elle sauve les banques mais elle affame les peuples de Grèce comme du Portugal comme elle est indifférente à ces centaines de noyés africains en mer Méditerrannée près de l'ile italienne de Lampedusa, en cette fin d'année. Nous sommes alors attentifs à  cet appel de Cédric Durand et de ses amis: « tout projet politique qui prend au sérieux l’objectif de rupture avec le néolibéralisme doit se poser la question de la rupture avec l’euro, et de ce fait, accepter de lutter contre l’UE elle-même. 
     

    Rappel :  Texte de présentation de l'association Questions politiques

    Présentation de "Questions politiques".
     
    Nous voulons intervenir dans la bataille pour l'hégémonie des idées face à la doxa néolibérale, et face à l' alternative mortelle portée par le FN. Pour préciser nos convictions, affiner nos divergences, remettre en cause nos préjugés, analyser plus finement la situation politique et économique actuelle. Pour poser collectivement d'autres questions politiques. Mieux comprendre le monde pour mieux parvenir à le transformer dès aujourd'hui.
    Nous sommes en lien avec les amis du Monde diplomatique, la Société Louise Michel (Paris) et l'association Raisons d'agir.
    Nous poserons donc des questions politiques auxquelles des réponses sont à apporter au plus vite, tant la situation politique et sociale exige des propositions novatrices. Nous nous situons du point de vue d'une orientation politique "gauche de gauche", pluraliste et ouverte.

  • Catastroïka… le 5 novembre à Poitiers

    Catastroïka.jpgLe Collectif 86 pour un audit citoyen de la dette publique et le Cinéma Le Dietrich vous proposent :

    Mardi 5 novembre à 20 h 30 Au Cinéma Le Dietrich

    Séance suivie d’un débat avec Bruno Percebois membre du collectif national de Solidarité Franco-Grecque pour la Santé

    Avec Catastroïka, les réalisateurs Katerina Kitidi et Aris Chatzistefanou reviennent sur les effets des privatisations dans plusieurs pays développés et sur ce qui attend la Grèce, sommée par la Troika (Commission et Banque centrale européenne avec le FMI) de lancer un programme de privatisations afin d'alléger le poids énorme de sa dette.

    A travers les interview notamment de Naomi Klein, journaliste canadienne, Slavoj Zizek, philosophe, Luis Sepulveda ou Ken Loach, le film défend la thèse que la crise financière nuit gravement à la démocratie et que la Grèce sert de laboratoire pour le reste de l’Europ dans les domaines financier et politique. Les politiciens soumis aux puissances financières y mettent en place des mesures catastrophiques pour les peuples et brident leur capacité à se soulever, développant un nouveau type de gouvernement d'apparence démocratique, mais en réalité autoritaire !

     

    Le Collectif 86 pour un audit citoyen de la dette publique rassemble des associations, des organisations syndicales et politiques comme : ATTAC, Cap à Gauche 86, FSU, Solidaires, les Alternatifs, EELV, GA, PG, PCF, NPA.

  • Changer l’Europe !

    Changer l'Europe !.jpgLes Économistes atterrés l’ont largement démontré : avec la mise en oeuvre du Pacte budgétaire et l’accentuation des politiques d’austérité, la construction européenne est sérieusement en danger.

    Ceci n’est pas une fatalité. Dans Changer l’Europe !, les «Atterrés» formulent un ensemble de propositions novatrices pour remettre l’Europe sur ses pieds. Ils développent et confrontent ainsi les multiples solutions qui s’offrent aux Européens dans des domaines aussi essentiels que l’emploi, la fiscalité, la transition écologique, la politique industrielle, le rôle des banques, l’égalité hommes-femmes, la réforme de la Banque centrale européenne, l’euro ou encore le fédéralisme…
    Dans tous ces domaines, des voies alternatives existent et il est urgent de les emprunter.
    À l’heure où se préparent les élections européennes, les «Atterrés» s’invitent ainsi dans le débat en mettant entre les mains des citoyens des propositions destinées à ouvrir de nouvelles perspectives au service de la démocratie et de la solidarité européennes.

    Depuis 2010, ce collectif d’économistes et de citoyens, auteur du fameux Manifeste d’économistes atterrés (édition LLL), se donne pour but d’impulser la réflexion collective et l’expression publique des économistes qui ne se résignent pas à la domination de l’orthodoxie néo-libérale. Réunissant plus de 2000 membres, ils forment aujourd’hui un courant vital à la réflexion économique qui s’oppose à la pensée unique et éclaire le débat public sur la nécessité d’autres politiques.
  • Plans de sauvetage de la Grèce : 77 % des fonds sont allés à la finance

    Logo Attac.jpgUne étude d’Attac montre que les «plans de sauvetage» mis en oeuvre par les institutions de l'Union européenne et les gouvernements européens sauvent les banques, pas la population.

    Depuis mars 2010, l’Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI) ont attribué 23 tranches de financement au prétendu « sauvetage de la Grèce », pour un total de 206,9 milliards d’Euros. Ils n’ont cependant fourni presque aucune précision sur l’utilisation exacte de ces énormes sommes, provenant de fonds publics. C’est pourquoi Attac Autriche a entrepris une étude sur cette question : au moins 77% de l’argent du plan de sauvetage ont bénéficié directement ou indirectement au secteur de la finance.

    Les résultats en détails :

    • 58,2 milliards d’Euros (28,13%) ont servi à recapitaliser les banques grecques —au lieu de restructurer ce secteur trop grand et moribond de manière durable et de laisser les propriétaires des banques payer pour leurs pertes.
    • 101,331 milliards d’Euros (48,98%) sont allés aux créanciers de l’État grec. Parmi lesquels 55,44 milliards d’Euros ont été utilisés pour rembourser des bons du Trésor arrivés à échéance —au lieu de laisser les créanciers assumer le risque pour lequel ils avaient préalablement perçu des intérêts. 34,6 autres milliards d’Euros ont servi de prime d’incitation pour obtenir l’accord des créanciers sur le prétendu « allègement[1] » en mars 2012. 11,3 milliards d’Euros ont été affectés au rachat de la dette en décembre 2012, lorsque l’État grec a racheté des bons presque sans valeur à ses créanciers.
    • 43,7 milliards d’Euros (22,46%) ont alimenté le budget de l’État ou n’ont pu être clairement affectés.
    • 0,9 milliard d’Euros (0,43%) ont constitué la contribution de la Grèce au financement du nouveau fonds de sauvetage, le MES.

    L'article complet sur le site d'Attac : 

    http://www.france.attac.org/articles/plans-de-sauvetage-de-la-grece-77-des-fonds-sont-alles-la-finance